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Cher KK, chaque propos tenu dans le respect de ceux qui le lisent, de quelque bord idéologique ou éthique qu’il soit, mérite d’être publié

05/06/2013 Commentaires fermés sur Cher KK, chaque propos tenu dans le respect de ceux qui le lisent, de quelque bord idéologique ou éthique qu’il soit, mérite d’être publié

Commentant à l’article [ ADC-Ikibiri vs Cndd-Fdd : légitimités contestées, ->http://www.iwacu-burundi.org/], KK, un lecteur d’Iwacu a posé une question : {pourquoi Nishelo, Ndiho James, Hogi, … ont ils la possibilité de laisser des messages kilométriques mais pas " nous " ? Sont ils des journalistes d’IWACU ? Pourquoi ce privilège ?} La Rédaction a décidé de répondre. Cher lecteur "KK", Nous sommes en effet attachés aux principes démocratiques, c’est pourquoi notre site web se veut être un espace de débat. Ainsi donc, vous posez cette question pour la 6ième fois. Cher KK, Nous sommes heureux de vous dire que personne n’a plus de droits que d’autres sur [www.iwacu-burundi.org->http://www.iwacu-burundi.org/]. Si les lecteurs que vous évoquez postent des messages aussi "kilométriques", et que nous les publions, ce n’est pas parce qu’ils sont des journalistes d’Iwacu, ni un fait lié à un quelconque privilège. La raison est très simple : c’est parce qu’ils ont à dire quelque chose, des arguments, aussi (car souvent, il n’y en a pas; et c’est fort "douloureux"). Depuis trois ans, nous avons redit que chaque propos tenu dans le respect de ceux qui le lisent, de quelque bord idéologique ou éthique qu’il soit, mérite d’être publié. Si vous, cher KK, vous vous contentez d’un commentaire d’une phrase, ou deux, nous publierons cela. Car nous ne publions que les commentaires que l’on nous soumet. Au passage, nous avons eu un petit malaise de notre côté : que penser du sous-entendu du "nous" mis en opposition aux commentateurs " Nishelo, Ndiho James, Hogi, … " ? Essayez-vous de nous " caser " ? Ce serait trop facile : lisez les 8.000 derniers commentaires reçus en quatre mois, et vous verrez que l’on nous a traité de toutes les sauces. Mais que faire : c’est là le risque, parmi tant d’autres, du métier. Et puis, oui, il y a des esprits assez riches pour croire que certains des commentaires postés sur notre site sont le fruit de l’inventivité des confrères et consœurs, à Iwacu. A ceux-là, nous espérons que le travail que nous avons, jusqu’ici, prouvé le contraire : tous les articles d’Iwacu, que ce soient les analyses, les reportages ou les interviews sont signés. Vous pouvez écrire aux journalistes de la Rédaction, les appeler, prendre rendez-vous avec eux : nous n’avions rien d’autre à cacher que ce que nous enjoint les règles du métier. Parfois, c’est vrai, des problèmes techniques liés plus aux caractéristiques des "machines" (ordinateurs en fait, pour reprendre un terme populaire) de nos lecteurs peuvent faire en sorte que vos commentaires soient limités en nombre de signes. Vous n’êtes pas le seul à avoir signalé ce cas : la solution serait peut-être de changer de poste, mais assurément d’utiliser un autre navigateur (tente de voir avec Firefox, par exemple). S’il vous est toujours impossible de publier vous-même votre propos, envoyez-le nous sous format {word}, sur {[email protected]} . Nous saurons le manier à bon escient. Sinon, et nous nous répétons, tant que nous recevrons de commentaires tenant au respect des milliers de lecteurs d’Iwacu-Burundi.org, nous les publierons. Que cela soit en un mot, ou plusieurs (phrases, paragraphes, textes). C’est le prix, aussi, et la beauté de la démocratie. Et puis, finalement, cher KK, merci de prêter attention à notre travail. La Rédaction.

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