« Eu égard aux enquêtes et des caractéristiques principales des crimes, c’est une évidence que le génocide a bel et bien été commis par le gouvernement du capitaine Micombero », a déclaré Prosper Ntahorwamiye, secrétaire général et porte-parole du gouvernement dans l’émission (…)
Au centre-ville de Bujumbura, les vendeuses d’arachides grillées sont la cible des policiers. Ils les accusent de mener un commerce interdit. Elles disent qu’elles aimeraient travailler tranquillement en payant les taxes, mais l’administration ne l’attend pas de cette oreille.
Les musiciens interrogés à l’occasion de la fête de la musique de ce 21 juin, estiment que la reprise de ces rassemblements musicaux est nécessaire pour leur survie.
Quelques dizaines d’étudiants boursiers internes ont droit à la restauration dans 4 campus de l’UB à Bujumbura. Le restaurant du campus Rohero est déjà fermé. Les prêt-boursiers aussi voudraient bien avoir ce privilège au moment où un responsable social de l’UB assure que ce n’est pas prévu par loi.
Dans le cadre des conférences sur les événements sanglants de 1972, organisées par le Sénat, son président soutient que la qualification des tueries à grande échelle perpétrées dans ce pays revient aux Burundais eux-mêmes. Selon lui, ce n’est pas la responsabilité des Nations Unies.
La faculté de droit n’a plus la cote auprès des lauréats du secondaire, ces dernières années. Une vision étriquée des débouchés professionnels en serait la cause, estiment des responsables académiques.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Zénon Nimubona.
« Des fois il y a des lamentations et beaucoup de doléances des élus locaux dus aux difficultés d’application des lois par les élus locaux », reconnaissent les commissaires de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni). Un aveu fait ce vendredi 21 (…)
Dans le nouveau projet de loi portant fixation du budget général de l’Etat 2021-2022, il est prévu une revue à la hausse du prix de la carte d’assistance médicale (CAM). « Le prix est dorénavant fixé comme suit : 0 (…)
En déplacement à Gatumba et à Rukaramu de la commune de Mutimbuzi, des zones prises en tenaille par la montée des eaux du lac Tanganyika et de nouvelles crues de la rivière Rusizi, le ministre de l’Intérieur n’exclut pas le déménagement des populations de ces zones en proie à des inondations.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Célestin Niyoyandemye alias Condo.
L’ONG locale Parole et Action pour le réveil des Consciences et de l’Evolution des Mentalités, PARCEM, a profité la veille de la journée mondiale du travail pour proposer particulièrement au gouvernement burundais un plan de redressement et de relance économique.