En marge de la Session plénière de la 79e Assemblée des Nations-unies, Zéphyrin Maniratanga, ambassadeur du Burundi aux Nations- unies demande une reconnaissance du « génocide » des Hutu en 1972. Le président la Commission Vérité et Réconciliation (CVR), Pierre-Claver Ndayicariye, lui emboite le pas. Une démarche qui vire vers une instrumentalisation politique de cette démarche selon certains observateurs.
« Monsieur le président, je me tiens devant vous aujourd’hui, non pas pour évoquer une crise actuelle, un conflit qui déchire en ce moment une nation, ou une urgence humanitaire visible sous les projecteurs du monde. Sur dont je viens vous parler s’est produit il y a plus de 50 ans. Ce n’est pas seulement une crise oubliée, c’est un crime occulté, un crime de masse perpétré dans le silence et resté dans l’ombre de l’histoire internationale. » Ce sont les propos de l’ambassadeur du Burundi à New York.
« Un crime pour lequel la communauté des nations n’a jamais prononcé de mots clairs. Un génocide. Je viens vous parler du génocide de 1972 commis contre les Hutus du Burundi. Ce que l’on appelle aujourd’hui, avec une pudeur trompeuse, les événements de 1972, fut en réalité un massacre d’une ampleur effroyable. »
Selon l’ambassadeur, la négation de ce « génocide commis contre les Hutus du Burundi en 1972 est un crime oublié, mais il n’est pas sans conséquences. » D’après lui, cela a nourri la méfiance, la peur, le ressentiment. Ce qui a façonné, selon lui, la trajectoire douloureuse du Burundi, « alimentant des cycles de violence, d’impunité et de répression. »
« Notre démarche ne vise pas à hiérarchiser les souffrances ni à politiser les mémoires. Elle s’inscrit dans une logique universelle. Toute mémoire tuée est une faille dans le rempart moral contre les atrocités futures. » Et d’ajouter : « Je ne viens pas ici pour accuser. Non plus, je ne viens pas raviver des tensions ni rouvrir des plaies. Je viens appeler à la reconnaissance, à la vérité et à la justice. »
La société civile monte aux créneaux
Dans une lettre envoyée à Antonio Guterres, secrétaire général de l’Organisation des Nations-unies et d’autres personnalités, une vingtaine d’organisations de la société civile s’insurge contre cette initiative de la CVR et de la représentation du Burundi à New York.
« La reconnaissance d’un génocide est une démarche hautement sensible, strictement encadrée par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1948. A ce jour, aucun organe international compétent n’a qualifié juridiquement les événements de 1972 comme un génocide au sens du droit international. »
Selon ces organisations, la tenue d’un tel événement sous l’égide des Nations-unies risque d’avaliser une lecture partielle, unilatérale et politisée de l’histoire burundaise. Elles pensent que cette « instrumentalisation de la mémoire compromet les efforts de réconciliation nationale et fragilise la crédibilité des mécanismes onusiens en matière de prévention des atrocités de masse. »
Par ailleurs, d’après ces organisations, une telle initiative tend à occulter d’autres épisodes de violences graves ayant marqué le pays et affecté différentes composantes de la population burundaise, notamment 1965, 1988, 1993, 2015, etc.
Selon elles, il faut préserver l’esprit d’impartialité, de rigueur et de responsabilité que requiert toute action liée à la mémoire des victimes des conflits et à la prévention des atrocités de masse ainsi que des crimes contre l’humanité au Burundi. « Préserver la neutralité et la crédibilité des Nations-unies en empêchant l’Organisation de prêter sa tribune à des initiatives perçues comme partisanes ou politisées avec la tenue de cet événement dans ses prémices. »
Réactions
Olivier Nkurunziza: « Cette démarche est très dangereuse et ça peut encore raviver la haine et les violences »
Selon Olivier Nkurunziza, président du parti Uprona, cette démarche est une tricherie. Il considère qu’on ne peut pas entamer une procédure de reconnaissance du génocide sur base d’un rapport d’étape. « A ce que je sache, jusqu’à maintenant, nous attendons le rapport définitif qui sera présenté à l’Assemblée nationale. Nous avons besoin de comprendre toutes les crises qu’a connues le Burundi. Malheureusement, la CVR se concentre seulement sur la crise de 1972 alors qu’il y a eu d’autres crises avant. »
Pour lui, il ne s’agit pas de nier les faits qui peuvent être qualifiés de génocide mais il s’inquiète de la procédure. C’est précipité cette initiative d’aller jusqu’à l’ONU, alors qu’on n’a pas même terminé le rapport définitif qui doit être validé par le gouvernement. « Pourquoi on le fait d’une façon cachée ? Pourquoi ne pas le faire d’une façon aisée afin que tous les partenaires, tous les Burundais soient informés des démarches ? Ce n’est pas l’affaire de la CVR, c’est l’affaire des Burundais. »
Le président de l’Uprona est catégorique: « Nous sommes totalement contre des démarches empruntées qui n’aboutissent à rien, sauf que ça va diviser les Burundais. Même l’ONU peut l’accepter, peut le faire. Est-ce que les Burundais, entre eux, seront réconciliés ? Pas du tout. Ce sera un groupe de gens, mais ça ne va pas aider tous les Burundais. »
Olivier Nkurunziza considère que tout ce qui concerne la vérité et la réconciliation des Burundais doit être bien étudié. Ce n’est pas pour le gouvernement, dit-il, ni pour le parti au pouvoir mais plutôt pour toutes les couches sociales qui ont été touchées par les crises qu’ont connues les Burundais. Les missions de la CVR ne sont pas d’aller faire valider un génocide sur une seule période de crise, mais d’abord, c’est d’amener une vérité acceptée par tout le monde et non pas par un groupe de gens.
Ce policitien dénonce une tentative d’instrumentalisation de la mémoire par la CVR. Il indique que la réconciliation demande d’aller lentement, mais sûrement, pour effectivement réconcilier les Burundais entre eux au lieu de se dépêcher, seulement d’aller vers les Nations-unies pour exiger la validation d’un génocide pour une seule période de crise. « Un processus de réconciliation mal engagé, mal conduit crée la méfiance et d’autres crises. »
Le président du parti Uprona trouve que les Burundais investissent beaucoup d’efforts dans le passé alors que ça ne rapporte rien. Pour lui, il faut préparer l’avenir pour les générations futures. « Nous avons besoin d’un Burundi meilleur, un Burundi qui a une même histoire. Des histoires contestées et contradictoires ne nous avantagent en rien. Il faut qu’on parvienne à écrire une histoire commune, acceptée par tout le monde ».
Kefa Nibizi: « Cette démarche non inclusive, non globale risque de conduire beaucoup plus à la polarisation qu’à l’unité »
Pour Kefa Nibizi, président du Codebu, que les crimes commis en 1972 soient reconnus et qualifiés par des instances habilitées, c’est une justice pour les victimes de l’époque. Là où le bas blesse, déplore-t-il, c’est que quand la CVR est arrivée sur la conclusion de 1972, elle semble s’en arrêter là. Il s’inquiète de cette focalisation excessive sur les événements de 1972 et du manque de traitement des autres crimes commis pendant d’autres périodes sombres. « Cette démarche non inclusive, non globale risque finalement de conduire beaucoup plus à la polarisation qu’à l’unité. »
Il déplore le silence sur d’autres événements, notamment ceux de 1993. Il faut, dit-il, que ces crimes soient aussi documentés pour qu’ils soient aussi qualifiés. Il fait savoir que la société est relativement polarisée sur base ethnique où une période touche une partie de la population plus que l’autre. « S’attarder sur 1972 risque de polariser la société et d’ être exploitée par des politiciens. Nous avons besoin d’une vérité qui va rassurer tous les Burundais, amener à la réconciliation, renforcer la cohabitation pacifique et la bonne gouvernance. »
Pour Kefa Nibizi, la vision du Codebu est claire. Les Burundais ont besoin de la vérité et veulent que des responsabilités soient établies individuellement. Cette vérité aide, dit-il, à connaître ce qui s’est passé pour éviter la globalisation et l’instrumentalisation de la mémoire. « Cela permettra que les nouvelles générations puissent construire un Burundi nouveau et stable où tout le monde puisse vivre à l’aise sans se regarder en chiens de faïence. C’est ça, pour nous, ce qui devrait même être l’objectif et la vision de la CVR dans ses actions. »
Il souligne l’importance de la vérité et de la reconnaissance des crimes commis dans le passé pour construire un avenir meilleur pour le Burundi. Il insiste sur la nécessité d’une approche inclusive et globale pour aborder les événements tragiques de l’histoire du pays, notamment ceux de 1972 et 1993.
Le président du Codebu appelle la Commission Vérité et Réconciliation à prendre en compte tous les crimes commis pendant les périodes de conflit afin d’établir une vérité globale et favoriser la réconciliation. « Il est crucial de reconnaître les souffrances de toutes les victimes et de déterminer les responsabilités pour permettre au Burundi de tourner la page et de construire un avenir plus stable et plus pacifique. »
Gaspard Kobako : « Ils craignent que la justice soit rendue »
Réagissant à l’appel de l’ambassadeur Zéphyrin Maniratanga en faveur de la reconnaissance du génocide des Hutu de 1972, Gaspard Kobako, président de l’Alliance nationale pour la Démocratie (AND-Intadohoka), affirme soutenir « sans ambages cette initiative de la CVR », qu’il qualifie de levée nécessaire du silence sur une tragédie historique. Il rappelle que, témoin direct alors qu’il n’avait que 11 ans, il a vu ses enseignants être « conduits manu militari au mouroir » dans une région marquée par « une véritable saignée humaine ».
Face aux critiques de certains acteurs de la société civile accusant la CVR d’instrumentaliser la mémoire, Kobako est catégorique : « Ce sont des négationnistes ou des héritiers des auteurs des crimes qui cherchent à occulter cette triste réalité ». Il insiste sur la nécessité de revisiter le passé pour « panser des plaies qui ne se cicatrisent pas », dénonçant ceux qui inversent les rôles en se présentant comme victimes.
Selon lui, la peur de la vérité anime ceux qui s’opposent à cette reconnaissance. « Ils craignent que la justice soit rendue et qu’ils soient contraints de restituer les biens pillés dont ils sont les héritiers ». Il pointe également la responsabilité de l’armée, de la gendarmerie et d’une justice expéditive dans l’exécution du génocide dirigé, selon lui, par Arthémon Simbananiye.
À ceux qui accusent la CVR d’ignorer d’autres événements tragiques, Kobako répond qu’il faut respecter le cadre temporel défini à Arusha, ajoutant que « Ce serait une erreur d’englober tout dans une seule lecture, au risque de brouiller la vérité ».
Kobako rejette toute crainte d’un impact négatif sur la réconciliation nationale. Pour lui, seules les tentatives de déni constituent une menace. « Les Burundais doivent apprendre à vivre ensemble comme des frères et sœurs, au risque de périr ensemble comme des idiots »
Fréderic Nzeyimana : « Une déclaration historique. »
« Un événement historique sans précédent au siège des Nations- unies. Qui devrait tout changer au Burundi. », réagit Fréderic Nzeyimana president du Collectif des survivants et victimes du génocide Hutu de 1972 au Burundi. « Une déclaration historique pour l’orphelin de 1972 que je suis. Ainsi que pour tous les membres du Collectif international des survivants et victimes du génocide Hutu de 1972 au Burundi. »
Il ajoute : « Justice enfin ! Le génocide commis contre les Hutus au bon endroit ? À la bonne place. Aux Nations-unies. C’est-à dire au Bureau où a été adoptée, en 1948, la convention onusienne pour la prévention et la répression du crime de génocide. »
Libérat Ntibashirakandi : « Cette initiative de la CVR est contraire à cette idéale de réconcilier les Burundais. »
« Ce n’est pas l’initiative de la CVR mais plutôt du parti au pouvoir. C’est une fuite en avant pour diverses raisons. Entretenir la corde sensible ethnique pour manipuler principalement les Bahutu dont la majorité sont fortement déçus par la mauvaise gouvernance socio-politico-économique et sécuritaire. Pourquoi cette fuite en avan ? Car le bilan des 20 ans de pouvoir du CNDD-FDD est désastreux sur tous les plans : économique, politique, social, sécuritaire et respect des droits humains », réagit le porte-parole de MAP Burundi Buhire.
Cette fuite en avant, souligne-t-il, c’est occulter ces crimes abominables qui d’ailleurs continuent. « Donc, la CVR ne peut en aucun cas dépasser les clivages ethniques. Parmi les problèmes qui minent le pays, la priorité n’est pas cette initiative. La priorité est plutôt la paix, la sécurité pour tous les Burundais, le respect des droits de l’Homme dont le droit à la vie, créer des conditions pour le retour des réfugiés et la réconciliation nationale. »
D’après Libérat Ntibashirakandi, cette initiative de la CVR est contraire à cette idéale de réconcilier les Burundais en paroles et en actes. « Toutes les crises à caractère ethnique qui ont secoué le Burundi ont emporté des Bahutu, des Batutsi, des Baganwa et des Batwa. « Comment expliquer que les restes humains déterrés, la CVR les étiquette d’une seule ethnie ? La méthodologie adoptée dans cette initiative ne respecte même pas les procédures classiques prônées par les Nations-unies. »
Selon lui, tous les drames que l’ensemble des Burundais et des Burundaises vivent aujourd’hui est une conséquence déjà de cette politique de diviser pour régner comme du temps de la colonisation. « Le Burundi compte aujourd’hui plus ou moins 300 000 réfugiés dans les pays voisins. Le Burundi continue à se vider de ses jeunes et de ses intellectuels. La pauvreté qui frappe de plein fouet la quasi-totalité des Burundais est une conséquence indirecte de cette initiative. Bref, il ne faut pas traiter cette initiative comme un cas isolé, c’est un élément d’un ensemble de plusieurs initiatives avec un seul objectif : se maintenir au pouvoir. »
Hamza Venant Burikukiye : « Rien à reprocher à la CVR. »
Selon le représentant légal de l’Association Capes+, la CVR est dans sa mission légitime et son travail est conduit au su et aux yeux de tous. « La preuve, son travail est déjà approuvé par les représentants du peuple. Sans vérité avouée, aucune réconciliation n’est possible. »
D’après lui, ceux qui parlent de manipulation ont peut-être quelque chose à se reprocher « ou ils veulent camoufler la vérité de peur que leurs parentés ou proches soient identifiés dans ce mal du passé. »
Térence Mushano : « La CVR a emprunté une fausse démarche, d’où le résultat sera nul. »
Le secrétaire général de l’association AC-Genocide Cirimoso, s’oppose fermement à l’initiative du gouvernement burundais et de la Commission Vérité et Réconciliation visant à faire reconnaître par les Nations-unies le génocide des Hutus de 1972. Pour lui, cette démarche relève d’une manipulation insensée et non crédible de l’opinion internationale. « AC-Genocide Cirimoso considère que cette allégation de l’ambassadeur Zéphyrin Maniratanga et du président de la CVR Pierre Claver Ndayicariye sont des manœuvres de manipulation de l’opinion internationale. Cette manipulation est insensée et non crédible. »
Il estime que seule une commission d’enquête judiciaire indépendante, mandatée par les Nations-unies, est habilitée à qualifier un génocide. « La communauté internationale devrait respecter les principes universels pour pouvoir reconnaître un tel ou un tel autre génocide et pour pouvoir le qualifier, l’Organisation des Nations-unies doit mettre sur pied une commission d’enquête judiciaire », insiste-t-il, en soulignant que la CVR « n’a pas de compétence pour qualifier le crime de génocide. Cela relève du Conseil de sécurité de l’ONU ».
À ses yeux, étant donné que cette commission n’a pas travaillé sur le terrain en recueillant les témoignages des deux parties Hutu et Tutsi , toute reconnaissance internationale reste prématurée.
Mushano rejette la version officielle selon laquelle les violences de 1972 auraient visé exclusivement les Hutu. Il affirme qu’« à notre connaissance, le 29 avril 1972, ça a été le génocide perpétré contre les Tutsis du Burundi par le parti qui n’était pas agréé, l’UB ( Umugambwe w’abakozi b’Uburundi), Ils ont massacré les Tutsi le 29 avril, il n’y a aucun Hutu qui a été assassiné. Le 29, le 30, le 1ᵉʳ, le 2, il n’y a pas de Hutus qui ont été tués. On a tué les Tutsis du sud du pays, de la capitale Bujumbura, en commençant par les membres des gardes du corps du président de la République ».
Il évoque des tueries ciblées dans plusieurs localités du sud du pays, dont Rumonge, Vyanda, Mabanda, Vugizo et Matyazo, où « un drapeau a même été hissé pour proclamer une prétendue “république du soleil”, la république de Matyazo ».
Il critique également le manque de volonté du gouvernement burundais à accepter une enquête internationale crédible. « Pourquoi le gouvernement du Burundi refuse-t-il que le rapporteur spécial des Nations-unies vienne siéger à Bujumbura, au Burundi, pour qu’il fasse l’enquête de manière libre et transparente ? Le gouvernement craigne quoi ? Nous savons que même si le gouvernement demande la reconnaissance du génocide des hutu en 1972, ils peuvent récolter ce que le président Sylvestre Ntibantunganya a récorté. En 1995, après le génocide qui a débuté le 21 octobre 1993, et les années qui ont suivi, le président Sylvestre Ntibantunganya avait demandé une commission d’enquête, laquelle commission a dégagé que le 21 octobre 1993, le génocide qui a été perpétré a été qualifié de génocide contre les Tutis du Burundi. Ne craigne-t-il pas le même résultat sur ce 1972 ? »
Pour Mushano, la démarche actuelle est incohérente. « La CVR, voire l’ambassadeur, ne vivent qu’une contradiction ». Il fustige une institution qui prétend aujourd’hui solliciter l’appui des Nations-unies, alors même que « le système en place avait refusé leur présence au sein de la CVR ». Il estime que la commission actuelle veut être à la fois juge et partie.
Selon lui, l’initiative n’aura pas d’effet bénéfique sur la réconciliation nationale. « Le mensonge ne réconcilie pas. L’occultation des crimes réels ne construit pas », affirme-t-il, en dénonçant une « instrumentalisation de la mémoire ». Il insiste sur le fait que seule une justice impartiale peut ouvrir la voie au pardon sincère : « La réconciliation n’est pas une question de dictée, c’est une question de cœur ».
Mushano appelle à une démarche globale qui tienne compte de toutes les périodes sombres de l’histoire burundaise : 1965, 1969, 1972, 1988, 1993 et 2015. « Pourquoi saute-t-on directement à 1972 sans commencer par le commencement ? », s’interroge-t-il, avant de conclure que « la CVR a emprunté une fausse démarche, d’où le résultat sera nul ».
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