Après l’incarcération de certains délégués envoyés pour la supervision de l’opération d’enrôlement des électeurs, leurs familles politiques demandent leur relaxation. Ils sont accusés d’avoir torpillé l’opération d’inscription pour avoir dénoncer des irrégularités.
Les berges des rivières Dama et Murembwe ont été détruites par de fortes pluies occasionnant des inondations de plus d’une centaine de hectares de cultures. Les agriculteurs sont dans la désolation, les services techniques et les autorités administratives promettent d’agir.
Certains candidats sont satisfaits de la transparence du recrutement des enseignants tandis que d’autres relèvent des irrégularités et demandent plus transparence.
Ces rapatriés viennent de perdre un procès relatif à un conflit foncier qui l’opposait à une famille d’un résident sur la colline de Busebwa. Elles se disent persécutées et menacent de reprendre le chemin de l’exil.
Cest au cours dune réunion des membres du parti Sahwanya Frodebu que leur président a annoncé cette nouvelle.
Les prix des produits Brarudi, des matériaux de construction, du sucre et de la viande ainsi que le ticket de transport ne cessent de monter sans qu’aucune justification ne soit fournie. Les consommateurs demandent que cette spéculation soit jugulée.
Destruction ou incendies des permanences, arrestations, bagarres, vols des drapeaux des partis. Des actes qui montrent que l’intolérance politique ne fléchit pas ces derniers jours.
397 réfugiés burundais des camps de réfugiés de la Tanzanie originaires des provinces de Bururi, Makamba et Rumonge ont regagné le bercail mardi 11 juin. Pour la plupart, l’insécurité en est la cause.
L’ancien sénateur burundais de la communauté Batwa et nouveau représentant des Etats africains sur les questions des autochtones aux NU s’exprime sur son cahier de charges et sur d’autres défis auxquels font face les autochtones burundais.
Situé à 9 km au sud de la ville de Rumonge dans la zone de Gatete, le site était connu avant sous le nom de «Mandela city ». Selon des informations recueillies sur place, le premier vice-président de la République (…)
La situation se présente ainsi alors que la province de Rumonge a été très touchée surtout par les événements 1972. Des présumés bourreaux et victimes cohabitent sur certaines collines.
Les personnes vulnérables dont des rapatriés installées dans les villages de paix sont dans des conditions déplorables à cause du manque de terres cultivables et de l’électricité.