Tué par balle par des personnes non identifiées dans la nuit de jeudi à vendredi sur la colline Musenyi, commune Nyabiraba, en province de Bujumbura, Désiré Ntahondabasigiye, un pro Rwasa a été inhumé ce mardi 17 décembre.
Un membre du parti Congrès National pour la Liberté (CNL) a été tué dans la nuit de jeudi à vendredi sur la colline Musenyi, commune Nyabiraba, en province de Bujumbura.
Problème d’accessibilité physique aux bureaux de vote, l’absence de bulletin en braille, non accès à l’information, tels sont quelques défis empêchant certaines personnes vivant avec handicap d’exercer leur droit de vote.
Plus de 5 mille couples ont régularisé leur mariage dans la commune Mutimbuzi, depuis l’appel lancé par le président Nkurunziza déclarant hors la loi l’union libre et le concubinage. Les femmes délaissées en payent le lourd tribut.
Sixte Vigny Nimuraba, président de la Commission nationale indépendante des droits de l’Homme (Cnidh), s’exprime sur le bilan des réalisations de ladite commission et les défis liés à la protection et la promotion des droits de l’Homme au Burundi.
Les commerçants dénoncent le retard mis dans sa réhabilitation. Ils déplorent les conditions dans lesquelles ils travaillent. Le commissaire de ce marché, quant à lui, rassure.
Certains riverains de la rivière Nyabagere, zone Gihosha, commune Ntahangwa, sont dans le désarroi. Leurs maisons sont menacées d’effondrement. L’administration en appelle plutôt au respect du code de l’environnement.
Difficultés de prise en charge, insuffisance des mesures préventives et des moyens de diagnostic insuffisants sont, entre autres, les facteurs qui augmentent les cas de cancer au Burundi.
Deux mois après sa réouverture, certains commerçants dénoncent une concurrence déloyale causée par les commerçants opérant à l’extérieur sur les rues qui se trouvent autour du marché. D’autres fustigent le deux poids deux mesures dans l’attribution des stands. Le commissaire du marché promet d’y remédier.
Les politiques et les activistes de la société civile ne s’accordent pas sur la gestion des mémoires blessées. Pour certains, la gestion se fait d’une façon disparate et ne permet pas une vraie réconciliation des Burundais. Pour d’autres, seule la justice pansera les blessures.
Les feux tricolores sur certains axes ne fonctionnent plus. Les citadins craignent la recrudescence des accidents routiers et demandent à l’autorité de réhabiliter ces feux pour réguler la circulation.
A un mois après la rentrée scolaire, les manuels scolaires pour la 1ère année de l’Ecofo ne sont pas encore parvenus aux écoles en mairie de Bujumbura. Enseignants et parents accusent le ministère de traîner les pieds.