Pour la première fois après la suspension de son organisation, le Président de PARCEM s’est confié à un média. Il ne comprend pas cette mesure soudaine et extrême. Il estime que leur travail d’analyse basé sur des faits inattaquables était plutôt utile pour les autorités.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Mgr Stanislas Kaburungu.
Tharcisse Niyongabo, assistant du ministre de l’Intérieur, met en garde les responsables du parti CNL : «Un procès de flagrance rendu ce jeudi prouve que ceux qui ont brûlé la permanence en province Bujumbura sont les membres de ce même parti. (…)
«La campagne ‘‘Ukuri ku biduhanze’’ serait à l’origine de la récente mesure du ministre de l’Intérieur», a réagi laconiquement Faustin Ndikumana, directeur exécutif de l’ONG Parcem, ce mercredi 19 juin. Cette campagne avait pour objectif pour ‘‘réveiller la conscience citoyenne (…)
La conférence des évêques catholiques du Burundi (CECAB) «constate et déplore la montée progressive de l’intolérance politique qui, par ici par-là, s’avère cause d’affrontements et même de morts». C’est ce qui ressort du communiqué sorti le 7 juin à la (…)
Des organisations de la société civile dite « citoyenne» sont descendues dans la rue ce samedi pour protester contre les médias français, spécialement RFI et TV5. Iwacu a suivi la manifestation.
Une élève du secondaire, 17 ans, a été assassinée dans la nuit de lundi 27 mai après un viol à Gasebeyi en zone Mivo de la commune et province Ngozi. Plus d’une semaine après le forfait, sa mère, inconsolable, demande la lumière sur cette affaire.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Nicodème Bugwabari.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Sylvestre Ndayirukiye.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Pie Masumbuko.
Culture très prisée en raison de son étiquette commerciale, le café manque tout de même de preneur à Condi en commune Rutovu de la province Bururi. La DPAE assure en train de chercher une coopérative pour le lavage et appelle les caféiculteurs à la patience.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Mgr Evariste Ngoyagoye.