Ce mardi 30 mai, le Burundi a reçu la visite du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. Au menu des discussions avec les autorités burundaises, la coopération bilatérale mais aussi la guerre en Ukraine où Gitega a rappelé sa position de neutralité vis-à-vis de ce conflit.
Ce mardi 30 mai, le Burundi a reçu la visite du ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov. Il était accompagné par une délégation de 25 personnes dont la plupart étaient des journalistes. Après son arrivée, le ministre russe s’est (…)
Même si l’arsenal législatif est suffisamment outillé pour sanctionner les fraudes observées dans l’octroi des marchés publics, des leaders de la société civile dénoncent des textes de loi rarement appliqués.
Dans son Conseil des ministres du 10 mai dernier, le Gouvernement a indiqué que les sociétés privées qui emploient les personnalités précédemment licenciées de leur poste au sein de l’Etat doivent résilier leur contrat avec ces dernières. Une mesure qui suscite des crispations.
Le 3 mai dernier, une partie de l’Uprona de l’opposition incarnée par Evariste Ngayimpenda et l’équipe dirigeante de Kumugumya ont annoncé leur union. Un rassemblement qui n’est pas sans rapport avec les élections prochaines et que rejette Tatien Sibomana, ancien compagnon de route de M. Ngayimpenda.
Dans un communiqué de presse publié, vendredi 12 mai, le secrétaire général du Cnl fustige des cadres du parti qui se livreraient à des ‘’campagnes d’intoxication’’.
Le 28 avril, huit cadres du Cnl ont publié une correspondance adressée aux militants Inyankamugayo où ils dénoncent la mainmise d’Agathon Rwasa sur le parti et demandent le respect des règles du parti. A l’occasion du congrès extraordinaire du 30 avril dernier, l’ensemble des signataires furent écartés des postes qu’ils occupaient au sein du bureau politique du Cnl.
Ce mercredi 26 avril, la CVR a organisé une conférence de presse portant sur la connivence entre le président Micombero et les rebelles ‘’Maï-Mulele’’, auteurs des massacres des populations Tutsi dans le sud du pays en 1972. Une version fortement contredite par les témoignages cités par la CVR elle-même et plusieurs observateurs.
Ce 20 et 21 avril, se tient la deuxième édition du forum national du développement. Un rendez-vous jugé inopportun par plusieurs acteurs politiques et de la Société civile qui estiment qu’une évaluation et un suivi des recommandations de la première édition auraient d’abord dû être menés.
Six mois après leur mise en place, bon nombre de notables collinaires se plaignent d’un manque de moyens matériels et financiers pour accomplir leur mission. Dans certaines localités du pays, certains ont suspendu leurs activités pour exiger un meilleur traitement de la part des pouvoirs publics.
Baisse de salaires, suppression de postes, budget limité, etc., le personnel du PRDAIGL, un projet du gouvernement financé par la Banque mondiale, sonne l’alerte sur l’exécution du projet sur terrain et accuse le coordinateur de passivité. Ce dont se défend l’intéressé.
Le 3 mars, la Commission Vérité et Réconciliation a sorti un communiqué où elle annonce la tenue prochaine d’audiences publiques et à huis clos sur la période 1972-1973. Une démarche qui rencontre le rejet de politiques et d’activistes, pointant un parti pris de la CVR sur cette période. Une accusation que réfute Pierre-Claver Ndayicariye.