Licenciements abusifs, absence de contrats de travail, non protection sociale, non accès aux congés légaux, retard des salaires sont, entre autres, quelques-unes des principales accusations des travailleurs contre leurs employeurs.
Le nombre de bus qui prennent feu de temps en temps en pleine route en mairie de Bujumbura et à l’intérieur du pays inquiète. Parmi les causes, les techniciens du domaine penchent pour le parc automobile vieux, un manque suffisant d’entretien et de contrôle.
Ces derniers temps, les galeries commerciales prolifèrent au centre-ville de Bujumbura. « Tendance vers une ville-galerie », craignent certains observateurs. Néanmoins, l’Office burundais de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Construction indique qu’il s’agit d’exploitations temporaires, pour la plupart.
Contrats biaisés, vols des richesses minières, ventes fraudeuses de la production agricole à l’étranger, incompétence des cadres, détournements des devises… Le président Evariste Ndayishimiye a avoué que le pays va mal. Il a ainsi annoncé un combat contre les voleurs de la République. Ce qui ne convainc pas les politiques et la société civile. Ils lui demandent d’agir au lieu de dénoncer seulement.
Les propriétaires des parcelles à Kizingwe-Bihara, zone Kanyosha, commune Muha, demandent que leurs terres leur soient attribuées. Ils accusent le comité exécutif de leur association d’avoir failli à leur mission de défendre leurs intérêts. Ce que réfute ce dernier.
A une semaine de la tenue des Etats généraux de la communication et des médias, en date du 24 au 25 novembre en province Gitega, les professionnels des médias expriment un besoin d’une discussion constructive sur notamment les relations journalistes-pouvoirs publics, la loi sur presse, les conditions de vie des journalistes, l’agrément des organes de presse, le fonds média, …
Après deux appels à l’inscription des lauréats de l’examen d’Etat édition 2021, pour l’année académique 2022-2023, ceux qui ont répondu à l’appel n’ont pas pu couvrir les places disponibles. Aujourd’hui, l’Université du Burundi est à une troisième baisse des notes exigées pour accéder à son offre de formation.
Le président de la République du Burundi, Evariste Ndayishimiye, promet cette fois-ci un encadrement de proximité pour empêcher que des usines produisent des boissons qui nuisent à la santé de la population. « Je regrette car nos services n’ont pas (…)
« Laissez-nous passer ! » C’est la chanson de Tiken Jah Fakoly que les ressortissants burundais bloqués dans les aéroports du Qatar et de Turquie ont envie de chanter après la décision de la Serbie de fermer les frontières aux Burundais sans visa. C’était un passage privilégié pour nombre de Burundais qui veulent tenter leur chance dans les pays de l’Union européenne. Les familles des proches qui étaient en chemin sont dans le désarroi. Gitega prend note de cette décision.
7 mois après la mesure du ministère de l’Intérieur du Développement communautaire et de la Sécurité publique réduisant le champ d’action des deux-roues et des tricycles, leurs conducteurs et les usagers n’ont qu’un souhait : que le gouvernement revienne sur sa décision.
Régularisation des cotisations à l’INSS, 20% des salaires après trois mois de service, allocations familiales, primes d’ancienneté, entre autres principales réclamations dans un dossier qui oppose la société chinoise (Synohydro Bureau 14) qui a construit le barrage Ruzibazi et son personnel.
Certains « possesseurs » des parcelles constituant des anciens paysannats en zone Maramvya de la commune Mutimbuzi sont inquiets. Ils dénoncent une volonté du gouvernement de les spolier de leurs terres en violation de la loi portant Code foncier de 2011 qui leur accorde le droit de propriété sur ces dernières.