Dans une note de ce 4 janvier 2023, l’inspecteur général de la police a donné une instruction pour diminuer les points de contrôle routier. L’objectif, faciliter la circulation des biens et des personnes. Les conducteurs se disent soulagés.
Déclarée le 1er janvier 2023, l’épidémie de choléra ne cesse de faire des victimes. Le port de pêche de Kajaga devient un foyer de contamination. Selon des témoignages, 3 personnes ont déjà péri.
Trois personnes ont perdu la vie dans un accident de roulage ce lundi vers 7h, tout près de l’Hôpital Kira sur la RN3. Un chauffard a perdu le contrôle de son bus de type coaster transportant des passagers vers Ruziba. (…)
Dans une société, les discours tenus par les responsables politiques sont scrutés à la loupe. Si ce sont des messages violents, la société en souffre. Le politologue Elias Sentamba appelle à la responsabilité.
Travailler en équipe aide à exprimer aisément ses idées et opinions. Le résultat est le fruit d’un effort commun. Quand un seul individu s’approprie les résultats, la cohésion s’érode. Pour Jean Bosco Harerimana, expert en justice transitionnelle, les efforts de chacun doivent être reconnus.
Jeudi 20 octobre s’est tenue l’émission en synergie « Umunoni» à Ruyigi, sur la transparence dans la gestion des entités communales. Dans certaines communes, des citoyens se plaignent qu’ils ne sont pas associés dans l’exécution, la gestion et le suivi des projets.
Dans une société en proie à des messages de haine, la religion peut intervenir pour prêcher la paix et la réconciliation. Acher Niyonizigiye, expert en leadership et enseignant d’université, appelle les leaders des confessions religieuses à jouer leur rôle.
Pour plus de productivité, la Sosumo étend ses plantations de canne à sucre dans des terres de la population dans le marais de Rugunga en commune Kayogoro et Kubareremba en commune Bukemba. Chacun est rémunéré en raison de 10 000 BIF par tonne de sucre récoltée. La population parle d’expropriation déguisée. Pour la SOSUMO, c’est un partenariat gagnant-gagnant.
Dans des sociétés en crise ou post-conflit, des groupes ou membres d’un groupe sont victimes de la chosification. Le Pr Evariste Ngayimpenda, historien et démographe, fait le point.
Dans un pays déjà meurtri par des divisions ethniques, les conditions de vie difficiles sont propices aux discours ethnicisants. Des gens en difficulté trouvent des boucs-émissaires. Pour Acher Niyonizigiye, expert en leadership et enseignant d’université, il faut plutôt trouver des solutions qui s’imposent.
Mercredi 31 août s’est tenue l’émission en synergie Umunoni, diffusée à partir de Bubanza, sur la problématique de l’abandon scolaire. Les intervenants ont noté une situation alarmante et recommandent la mise en place des cantines scolaires et un encadrement rigoureux des jeunes.
Dans une société post-conflit, les discours contradictoires des leaders et décideurs sur un même sujet déroutent. La population se retrouve confuse et risque de verser dans la violence. Rémy Havyarimana, coordinateur national de la Maison Lueur d’Espoir, prône un discours sans équivoque de la part des leaders.