Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu,
Tharcisse Tungabose.
Une semaine après la tenue du tout 1er Forum national sur le développement, le politologue décrypte les enjeux de ce grand rendez-vous qui a vu la participation de nombreux experts. L’occasion de faire un tour d’horizons de l’actualité politique du pays.
Grâce à une greffe de son rein, Michelle a « redonné » la vie à Evodie. Complices, désormais, elles sont devenues sœurs pour la vie. Une histoire qui rappelle que pour être épris d’Ubuntu ne requiert pas forcément l’âge.
Dans une correspondance du 22 octobre, adressée au ministre de tutelle, les associations de ce personnel demandent leur implication dans l’élaboration du cadre réglementaire du secteur de la santé. Et la prise en compte de leurs diplômes dans la nomination aux différents postes de responsabilité.
En réponse à la demande du Collectif 1972 de tenir une série de conférences de presse en mémoire des victimes Hutu de la tragédie de 1972, le ministère de l’Intérieur a répondu par un non catégorique à travers une correspondance datée du 2 novembre.
La Journée internationale contre l’impunité des crimes commis contre des journalistes célébrée le 2 novembre de chaque année arrive au moment où l’impunité revient petit à petit au galop. Ce, malgré la volonté du Chef de l’Etat burundais d’assainir les relations avec les médias.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, l’ambassadeur Pierre Claver Ndayicariye.
Lundi 18 octobre, dans les enceintes du PEV (Programme Elargi de Vaccination), a débuté la vaccination contre la Covid-19. Des débuts timides.
Le 1er lot de doses de vaccins contre cette pandémie est attendu jeudi 14 octobre. Le Burundi emboîte le pas de ses voisins de la région des Grands-lacs. Néanmoins, les experts en santé publique contactés estiment que des préalables s’imposent.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, l’ambassadeur Julien Kavakure.
Selon le rapport du ministère de la Santé publique du 15 septembre 2021, le cumul national depuis le début de la pandémie est de 2,37% de taux de positivité, 1348,75 pour 1 million d’habitants comme taux d’incidence, 91,10% comme taux de guérison et 0,07% comme taux de létalité (12 décès). Les autorités multiplient des déclarations qui se veulent rassurantes, mais pour nombre d’observateurs, la communication autour de la Covid-19 vire à la cacophonie.
Le Bureau burundais de normalisation et de contrôle de la qualité (BBN) vient d’imposer des restrictions d’emballage et de quantité pour les boissons alcoolisées de plus de 16,5%. Iwacu s’est intéressé à « Karibu », avec 40% d’alcool, qui est en train d’emporter des vies.