Alors que la « synergie des médias » s’est révélée un instrument de contrôle, Antoine Kaburahe, depuis l’exil, s’adresse aux journalistes d’Iwacu. Des mots pour dire l’impasse, mais aussi la force de tenir. Un message lucide, un appel à la conscience et au courage. Quand le journalisme vacille, rester debout devient un acte d’honneur.
Lire la lettre ici
https://kaburahe.substack.com/p/lettre-ouverte-aux-journalistes-diwacu
mais où est la lettre où j’ai pas bien compris
https://kaburahe.substack.com/p/lettre-ouverte-aux-journalistes-diwacu