Dans son discours d’ouverture, marquant l’ouverture de la semaine dédiée aux héros de la lutte pour la paix et la démocratie, le 16 novembre, le président de la République, sur un ton ferme, a rappelé que l’ennemi du pays n’est plus à chercher ailleurs. Au contraire, il se trouve parmi eux, n’hésitant pas à détourner les deniers publics, à spolier autrui, etc. Sous le seul prétexte qu’il aurait combattu. Une sortie qui a eu du mal à passer pour certains de ces combattants de la démocratie. D’un autre côté, les politiques interrogés demandent que cette fermeté dans les paroles se traduise en actes concrets.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Hosy Irakoze.
Lors de la présentation du rapport de performance et d’exécution budgétaire pour le 2e trimestre, exercice 2022-2023 devant les élus du peuple à l’Hémicycle de Kigobe par le ministre des Finances, mercredi 25 octobre 2023. Le président de l’Assemblée nationale a traité les fonctionnaires de l’Etat de tous les maux. Accusés d’incompétence, de paresse… Pour lui, seule la bastonnade peut les ramener dans le droit chemin.
30 ans après l’assassinat du président Ndadaye, Iwacu a rencontré l’ancien capitaine de l’armée burundaise, à l’époque, responsable de la garde présidentielle. A travers son livre, qui vient récemment de paraître : Trahisons au Burundi :1962-1993, un épisode retrace les péripéties de la nuit fatidique du 20-21 octobre 1993. Un témoignage choc.
Du 25 au 29 septembre, une équipe du Fonds Monétaire International a effectué une mission de travail au Burundi. Bien qu’avant tout, elle se voulait être une visite de courtoisie, à en croire nos sources, il était également question de s’enquérir des avancées de mise en œuvre de l’agenda de réformes du programme Facilité Elargie de Crédit (FEC). Malheureusement pour elle, force a été de constater qu’il reste encore du chemin à parcourir.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Francis Sokoroza Nitus alias Savoka.
Pour la 2e fois en trois ans au pouvoir, lundi 2 octobre, le président de la République, a remanié son gouvernement. Quatre ministres ont été remerciés. Mais le scepticisme reste : plusieurs observateurs interrogés, n’espèrent rien de ce remaniement.
Depuis le 27 septembre 2023, toutes les compagnies aériennes opérant au Burundi vendent les billets d’avion en devises. Ces compagnies expliquent, que cette décision est motivée par le manque de devises. Une mesure lourde de conséquences décriée par la population.
Questions, angoisse, peur du lendemain … la population ne sait plus à quel saint se vouer après l’annonce ce lundi, 11 septembre 2023 d’une nouvelle hausse des prix du carburant. Iwacu a rencontré une population désabusée.
Lors du Conseil des ministres du 30 août, la ministre de la Santé publique a présenté un projet-décret portant Code de l’éthique et déontologie pour les prestataires de services de santé. Parmi les recommandations, un point a étonné. Alors que le système de santé fait face à moult défis, l’idée de construire un hôpital pour les grandes personnalités a été émise. De quoi susciter la colère et l’indignation de la population qui se demande entre elle et ces grandes personnalités, celui qui en a le plus besoin.
Quelques mois après le lancement du programme « Vision-Burundi pays émergent en 2040 et pays développé en 2060 ». A l’instar du ministre des Infrastructures, certains sont déjà à l’œuvre. Toutefois, ses récentes déclarations redessinant ce que seront les nouveaux contours urbanistiques de Bujumbura, posent question. « Si le tir n’est pas vite rectifié, un mauvais départ qui risque d’engendrer des obstacles structurels sur le chemin de l’émergence économique », analyse l’expert-économiste.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, coach Belyse Ininahazwe.