Difficulté d’accès aux hôpitaux, manque d’assistance judiciaire aux femmes, non libération des détenus condamnés ayant déjà purgé le quart de leur peine, manque de frais de transport pour les témoins à décharge, non accès à une alimentation appropriée aux nourrissons… La direction de la prison indique que des solutions à certains défis sont en voie d’être trouvées.
Un appel lancé par le vice-président de la République du Burundi aux officiers de la police judiciaire et aux magistrats afin de désengorger les maisons de détention. C’était ce mardi 29 août à la prison de Rumonge, en marge de la célébration de la journée internationale des détenus dit « Mandela Day ».
Certaines étaient en transhumance. Elles ont été saisies par la police et les autorités administratives à la base en zone Gatete. Une opération saluée par les agriculteurs. Les éleveurs demandent au gouvernement de déterminer des zones destinées uniquement à l’élevage.
Le substitut du procureur général près la cour d’appel de Bururi a requis une peine de 7 ans et 6 mois contre le directeur de la prison de Rumonge et deux employés de cette prison pour facilitation dans l’évasion de 8 détenus.
Le carburant fait toujours défaut dans cette province de l’Ouest. Les déplacements ont sensiblement diminué. Les récentes mesures de revoir à la hausse le litre d’essence à la pompe n’a rien changé.
Le Burundi s’est joint au reste du monde entier pour célébrer la journée internationale de lutte contre la traite des êtres humains prévue le 30 juillet de chaque année. Malgré l’existence des instruments juridiques de prévention et de répression, les chiffres liés à ce trafic font froid dans le dos. Les défenseurs des droits de l’Homme interpellent tout le monde pour mettre fin à ce fléau.
Les travaux de construction sur le site dénommé « Nkurunziza City » sis sur la colline Gatete en commune Rumonge ont été suspendus depuis plus d’une année suite à un conflit qui oppose un certain Benjamin Bikorimana qui a viabilisé ce site et certains propriétaires de terre. La commission mise en place pour régler ce litige vient de remettre son rapport au gouverneur de province.
Elle est menacée sous plusieurs aspects. Il s’agit notamment des feux de brousse chaque été, le nombre insuffisant de gardiens qui surveillent cette réserve, la population riveraine qui n’est pas suffisamment sensibilisée à sa protection. Des efforts doivent être consentis pour relever tous ces défis.
La question est sur toutes les lèvres. Les gens attendent impatiemment l’ouverture du procès des présumés auteurs des attaques à la machette à Bururi au cours de ces derniers mois. Le dossier est en instruction au parquet au moment où le gros des présumés auteurs sont détenus à la prison de Rumonge.
Quatre personnes dont une sexagénaire ont été arrêtées par l’administrateur communal de Rumonge en pleine réunion sur la colline Gashasha zone Kigwena ce 3 juillet pour avoir accusé le chef de colline de faire paître ses vaches dans les champs de la population de cette colline.
Agriculteurs et éleveurs sont à couteaux tirés à cause des vaches qui viennent en transhumance à Rumonge en provenance des communes de Vyanda et Bururi de la province de Bururi. Les agriculteurs demandent que ces vaches quittent leurs terres et dénoncent une certaine complicité de certaines autorités administratives à la base.
La ministre de la Santé Publique demande qu’il y ait des spécialistes à l’hôpital de Kigutu, construit en commune Vyanda de la province de Bururi. Cet appel a été lancé ce mardi 20 juin au cours de son inauguration par le chef de l’Etat. Son vœu : voir d’ici 2040 toutes les régions du Burundi se doter d’un hôpital similaire.