A la veille du nouvel an 2020, le président de la République a annoncé la grâce à certaines catégories de détenus. D’aucuns s’inquiètent du retard mis dans la libération des bénéficiaires de cette grâce. La ministre de la Justice tranquillise.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Gaspard Kobako.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Vital Bambanze.
Au lendemain du rapport présenté par la Commission d’enquête onusienne des droits de l’Homme sur le Burundi ce lundi 09 mars, la classe politique ne s’accorde pas sur son contenu. Une réalité pour les uns, un rapport biaisé pour les autres.
D’aucuns s’interrogent sur le sort des victimes des récentes inondations. Quid de leur assistance et des mesures préventives face aux prévisions météorologiques annonçant de fortes pluviométries en mars et avril 2020 ? Iwacu a fait le tour à Gatumba et à Winterekwa. Reportage.
Contrairement aux 11 partis politiques ayant déjà dévoilé leurs candidats à la présidentielle de mai 2020, c’est le suspens du côté du Ranac à l’issue de son congrès tenu ce samedi, 15 février à Bujumbura. Mais comme ses prédécesseurs du Fnl et du Cdp, le Ranac se dit prêt à toute alliance.
Le pont sur la rivière Ntahangwa reliant la commune Kanyosha à celle d’Isare, province Bujumbura, risque de s’écrouler. Ses usagers se plaignent du ralentissement des échanges commerciaux entre les deux communes. L’administration tranquillise.
Dix millions de BIF ont été distribués par le gouvernement à chaque coopérative collinaire. Un fonds remboursable ? Qui va assurer le suivi de la gestion de ces fonds. Quid de l’insolvabilité d’une coopérative ? Eclairage d’Oscar Barankiriza, directeur général de l’Agence de promotion et de régulation des sociétés coopératives.
Soins médicaux irréguliers, manque d’eau et d’électricité, de terrains de jeux et à cultiver, une alimentation insuffisante, tels sont quelques problèmes auxquels font face les ex-combattants handicapés de guerre du site de Karurama.
L’Assemblée nationale a adopté, la semaine dernière, un projet de loi portant modification de certaines dispositions de la loi portant organisation de l’administration communale. Les politiques apprécient ce projet de loi qui, selon eux, va redynamiser le développement et l’administration dans les communes.
Equilibrer et diversifier la ration alimentaire de tous les détenus malnutris, préparer les détenus à une bonne réinsertion sociale, tels sont quelques objectifs du projet piscicole initié dans la prison de Muramvya. Les bénéficiaires dudit projet ne tarissent pas d’éloges.
Le Comesa souffle déjà ses 25 bougies. Le Burundi étant membre de cette organisation régionale, quels dividendes ? Quels défis et quelles perspectives? Eclairage par Chrysologue Mutwa, directeur général du commerce et point focal pour le Comesa.