Avec les réseaux sociaux, le « bashing » est à la mode. En anglais, le verbe « bash » veut dire frapper, cogner. Le bashing, c’est se défouler, critiquer, insulter, colporter des rumeurs et mensonges sur quelqu’un, de préférence un personnage public. (…)
Au Burundi et en Afrique en général, on célèbre bien la « journée de l’arbre », « la journée mondiale de l’enfant africain », « la journée de l’eau », celle de la « personne âgée », « handicapée » et bien d’autres « journées » sur des thèmes très variés. (…)
Je ne suis pas naïf, je ne crois pas que l’ Accord d’Arusha était une panacée. Non. Mais 18 ans après sa signature, il me semble important de s’arrêter sur quelques enseignements essentiels. D’abord, un poncif. Presque tous les conflits (…)
Les déboires du CNARED font jubiler une partie de la classe politique burundaise. En privé, un ami, membre assez influent du parti au pouvoir m’a écrit pour me féliciter, dans mon billet d’hier, d’avoir pointé les « minables petits politiciens du CNARED ». (…)
A la veille du prochain round des pourparlers à Arusha, que l’on dit imminent, alors que Bujumbura campe sur « sa » feuille de route pour les élections de 2020, l’opposition en exil réunie au sein du Conseil National Pour le Respect (…)
L’affaire des tambourinaires burundais qui se sont « volatilisés » en Suisse est en train de devenir un incident diplomatico-politique. Dans un communiqué, l’ambassade de Belgique est ouvertement accusée de complicité dans l’octroi des visas, voire de « trafic d’êtres humains ». Des mots (…)
Plus de deux ans après la disparition de notre journaliste Jean Bigirimana, sa famille, contrainte de fuir au Rwanda, survit. Aidons ses enfants à poursuivre leur scolarité. Ceci est un appel à la solidarité.
Une vingtaine d’artistes burundais invités pour participer à la 44ème édition des Rencontres de folklore internationales de Fribourg se sont « volatilisés », pour reprendre les mots d’un média suisse.
Alors que le Burundi fait face à des enjeux politiques importants, Iwacu lance une rubrique intitulée « Les Grands débats ». Journalistes, politiciens, historiens, économistes, tous ceux qui souhaitent débattre sont invités à proposer leurs analyses. L’objectif de cet espace est de promouvoir la réflexion. Les pamphlets et insultes n’y ont pas de place naturellement. Cette semaine, Iwacu vous propose une nouvelle analyse signée par deux journalistes, Antoine Kaburahe et Jean-François Bastin*.
A tous les amis de Marie-Louise Sibazuri, à tous les Burundais, les amis du Burundi, à ceux qui la connaissent ou non, mais qui ont répondu à notre appel. L’objectif a été atteint et même dépassé ! Que vous dire ? Les (…)
Depuis 2015, au Burundi, les scrutins sont instrumentalisés par un pouvoir prêt à tout pour sortir de l’impasse politique où il s’est fourvoyé. A chaque fois, c’est un échec. Le référendum constitutionnel du 17 mai vient encore d’en apporter la preuve. Nous nous proposons de revenir sur les principales circonstances de ce dernier vote et sur ses enseignements, avant d’en examiner les suites, particulièrement incertaines.
« Tant qu’on n’a pas accosté on n’arrête point de pagayer », dit un proverbe mahorais. Et nous accostons bientôt, il nous reste seulement quelques 2432 coups de pagaie. Vous avez été nombreux, malgré vos multiples engagements, à répondre à (…)