Quand un opposant en exil et un Conseiller en communication à la Présidence de la République se retrouvent tous les deux à démolir un livre avant sa sortie, cette « coalition » spontanée est troublante. Pour le premier, le livre est simplement (…)
Le regard et le sourire de Dylan, le fils de notre collègue Agnès Ndirubusa qui retrouve sa maman après 430 jours de séparation, résument tout ce que les journalistes, les familles et les amis d’Iwacu ressentent en ce moment : (…)
Pour certains, Pierre Buyoya aura été un « visionnaire » qui a su conduire des négociations difficiles. Pour d’autres, un politicien sans état d’âme, froid, calculateur.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son coeur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Annick Nsabimana.
L’histoire, triste au demeurant, enflamme les réseaux sociaux burundais. Rapidement résumé, il s’agit d’une collecte réalisée au profit d’un jeune artiste malade, que je ne connais pas ( pardonnez mon ignorance ». L’artiste « est originaire de Buyenzi », le détail a son (…)
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son coeur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Jérémie Ngendakumana.
Dans un entretien accordé à Iwacu, l’ancien Président burundais indique que sa démission au poste de Haut Représentant de l’Union Africaine pour le Mali et le Sahel est une « décision personnelle », prise en son « âme et conscience ». Désormais, il veut laver son « honneur terni », dit-il.
Le ministère de la Justice du Burundi a mis en vente des biens appartenant à des personnes accusées d’avoir trempé dans le coup d’Etat de mai 2015. Des femmes et des enfants vont se retrouver dans la misère payant pour (…)
Une fois encore, c’est un enregistrement discret qui nous fait entrevoir cette violence ordinaire, décomplexée. Un homme à plat ventre est battu. Méthodiquement. Le tortionnaire prend son temps, son élan. Des gens assistent. Impassibles ou impuissants. On ne sait pas. (…)
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Pacelli Ndikumana.
Le 22 octobre dernier, les quatre journalistes du Groupe de Presse Iwacu ont bouclé une année d’incarcération. Dans sa déclaration, le directeur du journal a évoqué la demande d’une grâce présidentielle pour la libération de nos collègues. Certaines personnes se (…)
Dans deux jours, nos collègues, Agnès, Christine, Egide et Térence vont boucler une année de prison. Pour rien. Et pourtant, il y a les beaux discours, tous les jours. Ceux d’un pays « apaisé », dirigé par un gouvernement dit (…)