Dans une ordonnance conjointe, trois ministères ordonnent l’acquisition obligatoire d’une Carte d’assurance maladie (CAM) pour tout ménage qui n’est pas affilié à aucune autre mutualité d’assistance maladie. Des questionnements ne manquent pas chez certains administratifs des structures sanitaires. Les utilisateurs s’en réjouissent tout en dénonçant les spéculations dans son acquisition. En vue de son succès, Jean Ndenzako, un expert économiste donne des éclairages
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Carine Kanderi.
Chaque année, le monde entier célèbre la Journée internationale des droits de la femme. Au Burundi, cette célébration tombe à la veille des élections dans lesquelles certaines femmes se disent mises à l’écart. Elles trouvent que c’est une bonne opportunité pour élever la voix. Pour d’autres burundaises, la célébration ne leur amènera rien de spécial dans la mise en place du respect de leurs droits.
En moins d’une semaine, plus de 30 mille Congolais ont fui la guerre vers le Burundi, selon le gouvernement. Parmi eux, des policiers qui fuient également le champ de bataille. Ils arrivent via le poste-frontière de Gatumba ou en traversant la rivière Rusizi. Dans leurs lieux d’accueil, les conditions de vie sont déplorables. Entretemps, en collaboration avec ses partenaires, Gitega s’organise pour leur venir en aide.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Vania Muhimpundu alias Vania Ice.
Depuis un certain temps, beaucoup de ressortissants congolais s’observent dans la capitale économique Bujumbura. La cause : la situation sécuritaire qui prévaut dans la région frontalière avec le Burundi. Les hôtels, les maisons, tout est pris à la va-vite sans aucune régulation.
Confrontés à la précarité et coupés de leurs familles, de jeunes congolais étudiants au Burundi racontent leur quotidien déchiré entre angoisse et survie après la prise de Goma par le M23. Témoignages poignants, cris d’alarme de parents impuissants face à la situation et silence de leur ambassade.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Carton Ntirampeba.
Le fléau du VIH-sida semble disparaître dans les pensées des Burundais. Là où il se manifeste, c’est la peur des on-dit et le repli sur soi. Mais, sa propagation prend de nouveau de l’ampleur au Burundi et les victimes ne cessent d’augmenter. Les solutions pour le combattre existent et sauvent les vies des plus téméraires. Eliane Becks Nininahazwe est artiste et militante engagée dans la lutte contre la stigmatisation. Elle nous en dit plus.
Rareté, hausse des prix, lamentation, …, les produits Brarudi font polémiques depuis un certain temps. Les lamentations fusent de partout. Les pertes sont énormes que ce soit du côté des vendeurs, des propriétaires des mini-dépôts ou des consommateurs. Qui profitent de cette situation ? Surtout que certains chiffres montrent que la production n’a pas diminué. Et les témoignages des Congolais en disent long. Que faire pour s’en sortir ?
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Perpétue Miganda.
La cherté de la vie ; le manque persistant des carburants ; des déficits en ceci ou cela, un début de réhabilitation de l’ex-marché central de Bujumbura, etc. ont été au menu de l’année 2024 en matière économique. Une table ronde pour booster l’économie a eu lieu mais, plusieurs défis restent d’actualité.