A Gitega, l’avocat n’est plus un fardeau pour le propriétaire d’avocatiers comme par le passé. Il en est de même dans les autres provinces du pays. Le peu qu’on trouve sur le marché coûte très cher. Plus d’un se demandent si la cause ne serait pas l’exportation de l’avocat vers la Tanzanie. L’autre raison serait le greffage d’une espèce recherchée sur le marché international.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Moïse Butoyi.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Chancelle Bamuhaye.
Héroïne, cocaïne, cannabis, boost… La consommation de drogues prend une ampleur terrifiante dans la ville de Bujumbura. Les injections de substances psychoactives provoquent des ravages. Certains jeunes ne se cachent même plus. La police, les autorités et les parents sont interpellés. Reportage.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, André Ndabaneze.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient car, tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Armel Chabel Marial Ngendakumana.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. Une occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient car, tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Ariane la Rochelle Nishimwe.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient car, tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Claudia Munyengabe.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, avec l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais, au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient et contestaient car, tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Adolphe Ntibasharira.
Dans le quartier Kizingwe-Bihara de la zone urbaine de Kanyosha en commune urbaine de Muha, les propriétaires de parcelles de cette localité sont confrontés à plusieurs défis pour pouvoir commencer les constructions. L’aménagement des parcelles individuelles et leur identification depuis 2012 n’ont pas jusqu’ à aujourd’hui permis la construction des maisons à la suite des magouilles qui en ont suivies.
Les magasins des matériaux de construction commencent à subir les conséquences du manque de carburant. Les camions qui les ravitaillent font la queue devant des stations-services. Les commandes ne sont pas honorées fautes de camions pour la livraison. Les hommes d’affaires commencent à ne plus savoir à quel saint se vouer.
Les habitants de la sous-colline Gahwama du quartier Tenga dans la zone Rubirizi sont menacés par le choléra. Il y’a plus de deux semaines, les premières victimes ont commencé à avoir la diarrhée et les vomissements. C’est par après qu’ils ont su qu’il s’agissait du choléra. La cause pour les habitants de cette localité n’est rien d’autre que le manque criant de l’eau potable.