La capitale économique fait face à un manque criant d’électricité. Les tenanciers des salons de coiffure, des bars, les soudeurs… ne savent pas à quel saint se vouer.
La grande majorité de ceux qui sont dans les cachots du BSR sont des jeunes et parmi ces derniers, il y a des mineurs. La plupart n’ont pas encore 18 ans. Certains y passent plus d’un mois et ils ne sont nourris que par des âmes charitables d’une manière irrégulière.
La journée internationale des droits de la femme au Burundi a pris une autre tournure. Certains en tirent profit au moment où la majorité des femmes fonctionnaires tirent le diable par la queue.
Il s’observe une pénurie des limonades de la Brarudi dans différents coins de la ville de Bujumbura. Les commerçants disent que cela fait plus d’une semaine qu’ils vivent cette situation. La Brarudi ne s’est pas encore justifiée.