À l’occasion de la Journée mondiale de la démocratie, célébrée chaque année le 15 septembre, l’organisation PARCEM a organisé ce mardi 17 septembre 2024, à l’hôtel City Hill, une conférence-débat sur le thème : « Le rôle des élections dans le renforcement de la démocratie et de la stabilité politique. Quelles suggestions pour les échéances électorales 2025-2027, 2030, 2034 et 2035 ? »
Un lock-out silencieux des transporteurs suite à une note du Ministère de l’intérieur fixant les tarifs des transports en commun en date du 9 septembre 2024. Au parking de Musaga, au parking du marché dit Cotebu, c’était une journée inédite. Des parkings déserts, des chauffeurs exaspérés, une situation traduisant un mécontentement face à la nouvelle politique tarifaire.
Ce qui devait être une simple réunion syndicale s’est transformé en véritable champ de bataille, marqué par des affrontements violents et la répression brutale des journalistes venus couvrir l’événement, témoignant ainsi des tensions extrêmes au sein du SYVBU.
Le 15 septembre de chaque année, le monde célèbre la Journée internationale de la démocratie. C’est l’occasion de revenir sur l’histoire, l’état, les défis et les solutions concernant ce système politique, notamment pour le Burundi. Le Burundi, comme beaucoup d’autres nations, s’efforce d’instaurer une démocratie stable et fonctionnelle. Pourtant, son histoire politique, marquée par des périodes de monopartisme, de coups d’État et de guerres civiles, témoigne d’une trajectoire semée d’embûches.
Sur les 313 institutions étatiques et paraétatiques concernées, seules 43 ont soumis leurs comptes à la Cour, soit un maigre taux de 13,7 %.
Le calvaire judiciaire du Dr Sahabo a pris une tournure dramatique ce mardi. Le médecin a été victime d’un malaise en plein procès, mettant en lumière les conditions de détention déplorables dans lesquelles il est maintenu à la prison de Ruyigi.
Ces derniers jours, le Burundi a signé des mémorandums avec des partenaires internationaux afin de permettre l’exportation directe du café burundais. Cependant, les producteurs se plaignent depuis longtemps des faibles revenus qu’ils perçoivent, malgré leur dur labeur.
Le transfert de la gestion des enseignants aux administrateurs communaux inquiète profondément certains syndicats et les enseignants. Une réforme controversée qui risque de bouleverser le paysage éducatif burundais.
Le ministère de l’Éducation nationale et de la Recherche Scientifique a annoncé le 2 septembre 2024 la note minimale pour accéder au post-fondamental. C’est 32 % pour accéder au post-fondamental externe et 50,5 % pour l’internat. Ces notes ont suscité de vives réactions de la part de certains syndicats des enseignants. Des parents déplorant la baisse de la qualité de l’enseignement au Burundi.
Le procès de la journaliste Sandra Muhoza, prévu pour ce 5 septembre 2024 au Tribunal de Grande Instance de Mukaza, n’a finalement pas eu lieu.
Une réunion de mobilisation nationale contre la variole du singe (MPOX) s’est tenue ce lundi 2 septembre 2024 à Bujumbura, sous l’égide du Premier ministre burundais, Gervais Ndirakobuca, ainsi que d’autres hauts cadres des ministères concernés.
La hausse vertigineuse du prix du ciment Buceco 32.5R et 42.5R, décidée par l’entreprise Buceco le 19 août 2024, a des répercussions importantes sur l’économie burundaise et le quotidien des citoyens. Cette décision affecte particulièrement les projets de construction pour les particuliers, tandis que les coûts de la vie continuent d’augmenter.