Les cas de viol dans la province Bubanza prennent une allure préoccupante. Les victimes et leurs familles vivent dans la tourmente. Le RBP+ tire la sonnette d’alarme.
Loin de leurs familles, souvent sans beaucoup de moyens, les mineurs détenus à Ruyigi se sentent abandonnés. Les parents et la société civile tirent la sonnette d’alarme.
Nestor Kayobera, directeur de l’organisation judiciaire au ministère de la Justice et avocat de l’Etat, nous livre ses éclairages notamment sur les dossiers les plus importants défendus et gagnés à la Cour de la CEA.
La ministre de la Justice a annoncé lundi 26 juin à Gitega que les personnes condamnées à une peine d’emprisonnement ne dépassant pas 2 ans ne seront plus écrouées mais pourront à la place effectuer des travaux d’intérêt général. Satisfecit pour les défenseurs des droits humains.
Aimée Laurentine Kanyana, ministre de la Justice, nous livre ses éclairages sur les lamentations des justiciables liées à la campagne d’exécution des décisions judiciaires et sur d’autres questions, notamment certaines réformes du pouvoir judiciaire contenues dans la nouvelle Constitution.
Le gouvernement du Burundi prévoit de construire les bâtiments du Parlement dans la localité de Nyabututsi. Les habitants demandent des clarifications sur les indemnités d’expropriation.
Quelques leaders religieux ont été arrêtés ces derniers jours à Rumonge pour incitation à la division à travers leurs homélies. Dans un rappel à l’ordre, l’administration demande aux différentes confessions religieuses de se conformer à la nouvelle loi les régissant.
Certaines dispositions de la réforme constitutionnelle sont différemment interprétées par la classe politique burundaise. L’opposition dénonce une politique du deux poids deux mesures et des ambiguïtés.
Le président de la Ceni a annoncé, lundi 21 mai, les résultats provisoires du référendum constitutionnel du 17 mai dernier. La coalition d’Amizero y’Abarundi dénonce les irrégularités et envisage de porter plainte. Le « oui » l’emporte à 73, 26%, (…)
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Gérard Niyungeko.
Les ambassadeurs de l’Union européenne au Burundi se disent horrifiés par l’attaque qui a fait 26 morts et 7 blessés dans la nuit de ce vendredi à samedi 12 mai à Ruhagarika, commune Buganda de la province Cibitoke. Ils déclarent (…)
Le manque d’équipements, l’absence de travaux pratiques, tels sont les défis auxquels sont confrontés certains CEM ayant ouvert la filière d’agri-élevage.