Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Marie Nzigamye.
De notre temps, je ne suis pas tellement vieux, on fêtait la réussite par une ripaille aux beignets, sambusa, et limonades. Certains s’offraient aussi leur première cuite. Mais l’idée ne serait venue à personne de lacérer son ancien uniforme pour (…)
Quand Aloys Niyoyita m’a demandé d’écrire son témoignage, je savais que son histoire n’allait pas plaire à certains ultras. Mais je n’ai jamais pensé qu’une réaction pouvait être aussi irrationnelle, violente, nauséabonde. Une déclaration audio sur le livre « Hutsi (…)
Je suis sûr que le souhait des assassins de Jean Bigirimana était que son nom et son souvenir tombent vite dans l’oubli. Comme celui de tant de nos concitoyens sacrifiés sur l’autel du mal qui nous ronge depuis si longtemps. (…)
Le journaliste et écrivain Antoine Kaburahe, aujourd’hui à l’étranger s’exprime sur les menaces qui pèsent sur le média qu’il a fondé il y a bientôt 11 ans . Pour lui, Iwacu est important pour tous les Burundais et doit continuer son travail.
La collection « Témoins » des Editions Iwacu vient s’enrichir d’un autre livre instructif et émouvant.
A quelques jours de la sortie de « Hutsi, au nom de tous les sangs », Iwacu propose un extrait du livre.
A quelques jours de la sortie de « Hutsi, au nom de tous les sangs », en cette date anniversaire, Iwacu propose un extrait poignant du livre. L’arrestation du papa d’Aloys Niyoyita.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Fréderic Gateretse Ngoga.
La vie, c’est la circulation, le mouvement, la régénération, la renaissance. Ce qui fige tue. Algérie, ta vie était figée, éteinte . Tu ne parlais plus, tu ânonnais. Algérie, tu étais atteinte d’une sclérose en plaques militaire, mortelle. Avec ton (…)
Par Antoine Kaburahe Le CNARED se déchaîne sur la journaliste du service politique Agnès Ndirubusa et sur Iwacu après la publication de l’article « CNARED, carnet d’un retour au pays natal CNARED, carnet d’un retour au pays natal ». L’article n’a pas plu (…)
Les cendres des volcans sont fertiles, dit-on. Le 13 mai 2015, sur les ruines fumantes des radios brûlées, qui aurait pu penser une seule seconde que les médias burundais rayonneront de nouveau ? Décapitée, traumatisée, avec une centaine de journalistes sur (…)