Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Emelyne Muhorakeye.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Judicaelle Irakoze.
Les Burundais, pouvons-nous dépasser nos différences (profondes ou superficielles) et vivre encore des moments de communion ? On peut en douter… L’élection de « Miss Burundi 2022 » devait être un de ces moments d’apaisement pour admirer, même de loin, les « beautés de chez (…)
Oui, c’est toujours touchant quand un Président rencontre et échange directement avec les citoyens. Presque tous les Présidents adorent ces moments qui les font paraître plus humains, proches des préoccupations de la population. Ce 29 décembre au stade Intwari, le Président (…)
« 100 personnes tuées, non, 300 cents », voire « 400 cents morts », etc., sur les réseaux sociaux, le nombre des victimes dans l’incendie de la prison de Gitega varie. Comme toujours, tous citent des « sources fiables ». Des témoins « oculaires » qui évoquent des corps enterrés (…)
Le Royaume du Maroc déploie toute sa diplomatie pour devenir une plaque tournante de l’activité culturelle, un trait d’union entre le monde arabe et l’Afrique noire. L’ACADÉMIE du Royaume du Maroc a reçu une cinquantaine d’intellectuels et d’écrivains africains et (…)
Une Assemblée Nationale qui interdit les médias de diffuser les débats au Parlement… Sauf s’ils ont « une autorisation du Bureau de l’Assemblée » ! Le 27 octobre quand l’information a commencé à circuler dans les groupes whatsApp des journalistes, j’ai (…)
Les Burundais sont réfractaires au progrès, c’est connu. Aujourd’hui, au lieu de saluer la prouesse, les Burundais critiquent le barrage de Mpanda. Pourtant, c’est une prouesse technologique, en avance sur son temps. Mpanda est dans la droite ligne de la (…)
Huit ans à fouiller des archives inédites et à faire parler des témoins . Le livre du chercheur Ludo De Witte sur l’assassinat de Rwagasore soulève un grand intérêt dans tous les milieux. A juste titre.
Le ministre des Affaires étrangères est satisfait de l’accord signé avec Riyad. Désormais, il existe un cadre légal pour protéger les jeunes qui vont travailler dans ce pays. Après l’Arabie-Saoudite, M. Shingiro espère signer des accords avec d’autres pays.
Le livre du chercheur Ludo De Witte suscite un engouement général à travers les pays et les générations. Parce que la vie et l’histoire de ce jeune leader fauché la veille de l’indépendance de son pays, pour laquelle il s’est battu, fascinent. Ce livre est aussi l’histoire de « Nina » et Aimé. Rencontre
Les dernières agressions contre des citoyens innocents au Burundi, comme toujours, rallument la question du rôle du journaliste. Un conseiller à la présidence va sonner la charge. Il accuse Iwacu de faire « la publicité » de ceux qui ont lancé les (…)