« Nous aurons un dossier assez important qui concerne la levée des sanctions de l’un ou l’autre médium qui est sur la table », a affirmé Vestine Nahimana, présidente du Conseil national de la communication (CNC), à l’occasion du début (…)
Après bientôt 2 mois que l’Office burundais des recettes (OBR) a invité les contribuables à adapter leurs systèmes de facturation électronique pour permettre le transfert des données vers son serveur, ces derniers expriment toujours leurs incompréhensions. Un avocat d’affaires joint par Iwacu estime qu’une préparation est nécessaire.
Dans la matinée de ce 14 mars dernier, la police a suspendu une conférence de presse conjointement animée par les associations Parcem et Olucome. Selon elle, ces organisations n’avaient de permission. Une violation flagrante de la liberté d’expression, accusent plusieurs observateurs.
A quelques jours du début du financement des projets initiés par les jeunes par le Programme d’Autonomisation Economique et d’Emploi des Jeunes (PAEEJ), certains d’entre eux restent sous-informés sur les conditions exigées afin de saisir cette opportunité. D’autres sont fin prêts.
Six mois après le lancement des travaux de réhabilitation du Port de Bujumbura, le directeur général de l’Autorité maritime, portuaire et ferroviaire, Jacques Bigirimana, affirme que la montée des eaux du lac inquiète les Japonais qui les exécutent. Néanmoins, il fait savoir que deux projets en cours adapteront le port aux normes internationales.
Alors que le président de la République a exprimé la volonté d’améliorer les conditions de vie des retraités lors de son discours d’investiture, une commission technique d’analyse mise en place par la Primature, considère que le budget de l’INSS est insuffisant pour envisager la réforme des retraites.
N’ayant pas respecté les principes sacrés de la ’’danse d’Umurisho w’ingoma’’, le ministre chargé de la Culture et de la Jeunesse a suspendu le festival Buja Sans Tabou organisé depuis le 7 février. Arguments avancés : protéger ce patrimoine culturel burundais.
Au début de cette année, les commerçants locataires des stands au marché Bujumbura City Market (BCM) ont vu les prix de leur loyer augmenter ostensiblement et ont engagé un mouvement de grève pour contester cette hausse. De son côté, la direction du marché parle plutôt d’un ajustement des prix selon le pouvoir d’achat actuel.
La Coalition Éducation pour tous « Bafashe bige » souhaite une réflexion sur la qualité de l’éducation en constante régression, un syndicaliste demande une revalorisation de l’enseignant tandis qu’un expert en éducation est pour une redéfinition complète du projet de l’école burundaise.
Faute d’hypothèques, certains consommateurs des produits et services bancaires sont attirés par des crédits collectifs. Une pratique non sans risque à cause de la malhonnêteté éventuelle de membres du groupe bénéficiaire du crédit. Un acte d’engagement est proposé comme solution.
Certains jeunes éprouvent encore des difficultés à concevoir des projets bancables, tandis d’autres doivent recourir à d’autres personnes. Des avis divergents du public cible sur la Banque d’Investissement pour les Jeunes (BIJE), après un an de fonctionnement.
L’année 2021 a été marquée par une volonté affichée du président Evariste Ndayishimiye de rouvrir les médias suspendus. Dans la même année, un journaliste en exil a été accusé de ternir l’image du Burundi par le chef de l’Etat tandis qu’un autre d’une radio rouverte a été arrêté en plein reportage.