Après le fiasco des pourparlers d’Arusha, plus d’un se demandent que pourrait être la suite. L’incertitude politique fait grandir les inquiétudes. Une opinion ne semble plus croire aux solutions qui viendraient des chefs d’Etat de la Région, encore moins de (…)
Feuille de route vers les élections de 2020 », « proposition pour une sortie de crise ». Deux documents élaborés par les politiques burundais mais dont l’un est l’antipode de l’autre. Le premier est le résultat d’échanges des partis politiques, (…)
Initialement prévue du 19 au 24 octobre, la dernière session du dialogue de sortie de crise au Burundi n’a pas eu lieu. En cause : la commémoration du 25ème anniversaire de l’assassinat du président Melchior Ndadaye, héros de la démocratie, (…)
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Frère Liboire Kagabo.
Enfin, c’est officiel : le 5ème et « dernier » round du dialogue inter-burundais est fixé du 24 au 29 octobre. Les Burundais commençaient à se lasser de l’éternel report. Aussitôt annoncé, les politiques se creusent les méninges sur l’agenda (…)
Etablissement de la vérité, de la réconciliation nationale, rétablissement de la dignité des victimes… Les attentes des Burundais envers la Commission Vérité et Réconciliation (CVR) sont énormes. L’accomplissement de ces tâches exige beaucoup de moyens, de ressources humaines, de compétence, (…)
La mesure est tombée comme un couperet. Dans un communiqué du 27 septembre, le secrétaire exécutif du Conseil national de la sécurité (CNS) annonce la suspension des ONG pour une période de trois mois, à compter du 1er octobre. Le général (…)
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Etienne Karatasi.
Dans son livre Les Identités meurtrières, Amin Maalouf s’interroge sur ce que signifie le besoin d’appartenance collective, qu’elle soit culturelle, religieuse ou nationale. Dans la vallée de Nyambeho, séparant les communes Gitega et Giheta, un monument vient d’être érigé. Il (…)
Mardi 11 septembre, les parlementaires se réunissent à l’hémicycle de Kigobe. Ils débattent le deuxième rapport de la Commission d’enquête des Nations Unies sur la situation des droits de l’Homme au Burundi du 5 septembre. Ce dernier a accusé Bujumbura (…)
Ils proviennent d’une même organisation, s’adressent au même pays. Pourtant, ils portent un regard tellement différent sur la situation burundaise. Le 9 août, l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Michel Kafando, a brossé un tableau très positif, presque immaculé, (…)
Trente et une écoles et établissements secondaires n’ouvriront pas leur quatrième cycle de l’école fondamentale l’année scolaire prochaine. Une décision prise par le ministère de l’Éducation ce 3 septembre puisqu’ils n’ont pas obtenu plus de 20% au concours national. L’ordonnance (…)