Plus d’une semaine après la mort de Prosper Hitimana, le dernier des quatre étudiants burundais décédés en Russie en l’espace de deux ans, sa représentation au Burundi donne les raisons de ces décès. C’est à travers un communiqué sorti ce jeudi 19 août.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Pie Ntiyankundiye.
A l’instar de la Brarudi en juin 2020, la direction de la Banque Commerciale du Burundi via une note de service du 9 août, annonce que désormais, les employés désirant se marier, seront dans l’obligation de se convenir sur celui ou celle qui démissionnera le moment venu.
Le ministre Gervais Ndirakobuca a souligné que le gouvernement n’endossera pas la responsabilité des effets secondaires éventuels. Allusion faite au lot de vaccins contre la Covid-19 que la Banque mondiale a accepté de fournir au Burundi.
A 24 h de l’entrée en matière des premiers athlètes burundais comme les nageurs qui débutent la compétition ce 27 juillet, de Tokyo, le chef de la délégation burundaise, également secrétaire général du Comité National Olympique (CNO), fait le point.
Avec une délégation composée de six athlètes, dont quatre seront à leur 1ère participation, le Burundi aborde ce rendez-vous planétaire avec des ambitions modestes. Iwacu revient sur leur parcours.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Eugène Nindorera.
Enlevé dans la nuit du vendredi 9 juillet par des gens non encore identifiés, Merthus Mahoromeza, gérant de la maison de passage, « City of Peace », reste introuvable. Si l’on en croit les témoignages concordants, il était précisément 00h35 lorsque la sentinelle (…)
Cheval de bataille du pouvoir actuel de Gitega, la lutte contre la corruption nécessite une coordination des efforts à tous les échelons, pour être effective, estime Gabriel Rufyiri, président de l’Olucome dans sa sortie médiatique de ce dimanche 11 juillet. (…)
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Béni Ndayishimiye.
Avec la construction du barrage Jiji-Murembwe et la réhabilitation de la RN17, les deux localités sont en pleine expansion. Ce développement s’accompagne d’un bouleversement des mœurs. En plus de grossesses non désirées, la prostitution deviendrait rampante.
Le protocole sanitaire exigeant qu’endéans de 48h, le passager doit avoir reçu les résultats de son test de dépistage. Une décision intervenue après la récente mesure de suppression de la quarantaine. Certains disent encore les attendre. Ils craignent que parmi (…)