Des précipitations excédentaires étaient prévues au Burundi par l’Igebu durant la saison culturale de la période de mars à mai 2024. Malheureusement, la réalité est qu’on fait plutôt face à de grandes chaleurs et à une absence de pluie du moins pendant ce mois de mars. Ce qui peut avoir un impact négatif sur les cultures.
Lors d’une descente sur le terrain effectuée par le Bureau burundais de normalisation et de contrôle de la qualité, BBN, différents produits qui ne sont pas en ordre ont été retirés du marché. Le directeur général de cette institution lance un appel aux autorités de leur apporter un coût de main pour éliminer ces produits sur le marché.
Le 8 mars 2024, dans la capitale économique Bujumbura, les femmes se sont associées aux autres femmes du monde entier pour célébrer la journée qui leur est consacrée. Du folklore mais aussi de bonnes actions en faveur de la femme burundaise ont caractérisé la journée.
Une réunion d’échange qui a été rehaussée par la présence du chef de l’Etat burundais a été organisée par la mairie de Bujumbura pour voir ensemble comment se portent la bonne gouvernance et la propreté dans la ville de Bujumbura. Selon le président Ndayishimiye, il y a toujours à corriger, les choses ne se déroulent pas comme il faut.
A travers un décret présidentiel signé en août 2018, il est interdit au Burundi de fabriquer, importer, vendre et utiliser les sachets et autres emballages en plastique. Sur le terrain, c’est tout le contraire.
Au centre-ville de Bujumbura, le transport en commun est de nouveau devenu difficile. A la suite pour la nième fois du manque de mazout utilisé par les bus qui assurent le transport en commun, de longues lignes de gens en attente des bus s’observent. Ceux qui utilisent ce moyen de déplacement se lassent de cette misère qui n’en finit pas.
Dans le quartier Winterekwa de la zone urbaine de Gihosha, commune urbaine de Ntahangwa, sur la route nationale numéro 3, des glissements de terrain qui causent des dégâts matériels et humains s’y observent. Les habitants du quartier vivent la peur au ventre. Les passants craignent aussi pour leur vie. Tous lancent un cri d’alarme aux autorités pour leur venir en aide.
Les bords de la rivière Ntahangwa sont progressivement en train de s’écrouler. Ce qui menace de nouveau le Pont de la République situé sur le boulevard Mwezi Gisabo qui risque à son tour de s’effondrer. La force des eaux de cette rivière a en effet déjà emporté les ouvrages de protection précédents. Les passants rencontrés demandent la réhabilitation de ces bords dans l’immédiat.
Après la libération de 558 prisonniers par le Chef de l’Etat, ce lundi 19 février, à la prison de Rutana, l’Association Solidarité avec les Prisonniers et leurs Familles Ntabariza-SPF en appelle à étendre ce geste.
Dans la zone urbaine de Kanyosha, commune urbaine de Muha en mairie de Bujumbura, des transformateurs de courant de la Regideso emportent de temps en temps la vie des gens de cette localité ou celle des passants. Les personnes croisées demandent aux autorités de leur venir en aide en aménageant les lieux où sont implantés ces transformateurs.
En mairie de Bujumbura, la plupart des minibus qui transportent les gens dans les différents quartiers sont vieux. Leurs usagers déplorent leur état qui les rendent inconfortables et demandent de procéder à leur remplacement.
Au boulevard Mwezi Gisabo, au niveau du siège de la CNIDH, un trou s’est creusé et menace le caniveau et par voie de conséquence cette route qui compte parmi les meilleures. Avec les eaux de ruissellement, ce trou s’élargit.