• Le parti Cndd-Fdd estime que le projet de la nouvelle Constitution va mettre fin à ce que ce parti qualifie de désordre dans la mise en place des institutions. Ce parti l’a déclaré ce jeudi lors de la campagne référendaire dans la commune Gisuru de la province Ruyigi. Le Cndd-Fdd fait allusion à la façon dont la Constitution en cours de révision permettait à ceux qui n’ont pas gagner les élections d’occuper des places dans le gouvernement.
Le parti Sahwanya Frodebu appelle les burundais à voter « Non » au référendum du 17 mai prochain. Selon le parti du héros de la démocratie, voter non c’est protéger l’Accord d’Arusha et la Constitution qui en est issue. Il estime aussi que le projet de constitution exclue certains Burundais comme les anciens présidents et les indépendants.
Léonce Ngendakumana, vice-président du parti Sahwanya Frodebu l’a déclaré lors d’une conférence de presse qu’il animé ce jeudi.
• La police judiciaire de la province de Rumonge a lancé des avis de recherche contre certains jeunes affiliés au parti au pouvoir, accusés d’avoir kidnappé et passé à tabac des personnes dont un membre de la coalition Amizero y’abarundi dans la zone de Kizuka, de cette province. Le responsable de la ligue des jeunes Imbonerakure rejette ces accusations des gens qui, selon lui, veulent ternir l’image de ces jeunes.
• Plus de 1600 hangars du camp des réfugiés burundais de Lusenda ont été touchée hier soir par des trombes d’eau mêlées à des vents violents au Sud Kivu, en République démocratique du Congo. Emmanuel Ntirampeba, président de ces réfugies indiquent avoir informé les autorités du PAM et du HCR et appelé à l’aide mais en vain.
• Célébration chaque 3 mai de la journée mondiale de la liberté de la presse. Le directeur général de la communication et des medias au sein du ministère de la Communication et des Medias, Jérôme Ndikuriyo rejette le classement que la RSF accorde au Burundi. Selon lui, la sécurité est garantie tout journalistes au Burundi.
• L’ordre national des pharmaciens du Burundi indique que le manque des devises est l’une des causes de la carence des médicaments dits spécialités. Désiré Bizimana, président de l’ONPB précise qu’ils se rabattent à l’importation des médicaments efficaces. Il s’est exprimé lors d’une journée d’échange entre les professionnels de la pharmacie sur différentes questions qui hantent ce domaine.