Après deux semaines de batailles acharnées, Dynamo BBC et Urunani BBC se sont affrontés dans un-Game 7 décisif tenu dimanche 20 juillet afin de déterminer le champion de la VBL 2025. A l’issue d’un match d’une rare intensité, Dynamo s’est imposé sur le score de 64 à 51, décrochant ainsi les 4 victoires requises pour remporter le titre, alors qu’Urunani reste à trois victoires dans cette série palpitante.
Le budget général de l’État pour l’exercice 2025-2026 est estimé à 5 258,6 milliards BIF, soit un accroissement des dépenses de 10 % par rapport à l’exercice précédent. Certaines taxes et impôts ont été modifiés, d’autres introduits. Les prix des documents de voyage ont été revus à la hausse. Beaucoup d’observateurs société civile et experts dénoncent un budget déséquilibré, perçu comme un fardeau pour le peuple.
Après cinq matchs palpitants, les finales des Play-offs 2025 du championnat national de basketball burundais (VITAL’O Basketball League) tiennent toutes leurs promesses. La formation d’Urunani BBC mène désormais la série par 3 victoires à 2 face à son éternel rival, Dynamo BBC, et n’est plus qu’à une marche pour conserver son titre de champion.
En marge de la Session plénière de la 79e Assemblée des Nations-unies, Zéphyrin Maniratanga, ambassadeur du Burundi aux Nations- unies demande une reconnaissance du « génocide » des Hutu en 1972. Le président la Commission Vérité et Réconciliation (CVR), Pierre-Claver Ndayicariye, lui emboîte le pas. Une démarche qui vire vers une instrumentalisation politique de cette démarche selon certains observateurs.
Plusieurs médias dont le Journal Iwacu, Yaga, Jimbere Magazine, Iris News, RFI, France 24, … ont été pointés du doigt pour leur traitement jugé inadéquat de la période électorale. C’était lors d’un point de presse tenu ce lundi 30 juin par le Conseil national de la Communication (CNC), consacré à l’évaluation de la couverture médiatique des élections communales et législatives du 5 juin 2025.
Réunis à Gitega sous la présidence du Chef de l’Exécutif burundais, les acteurs politiques, les membres de la CENI, les anciens chefs d’État et quelques délégués de la société civile ont évalué le processus électoral du 5 juin. Même si la CENI défend la régularité des scrutins, l’opposition dénonce toujours des « irrégularités majeures ». Des voix sages en appellent à l’apaisement et à la responsabilité.
Le 18 juin 2020, Évariste Ndayishimiye prenait les rênes du pouvoir au Burundi. Cinq ans plus tard, son action apparaît comme un savant mélange d’avancées sensibles et de difficultés persistantes. À travers les domaines politique, économique et diplomatique, ce panorama retrace les réalisations majeures, les zones d’ombre et les défis qui ont jalonné les cinq ans.
La Cour constitutionnelle a validé, ce vendredi 20 juin, les résultats des élections législatives organisées le 5 juin. La haute juridiction a jugé « non fondés, pour absence de preuves », les recours déposés par certains partis d’opposition.
Les résultats provisoires des élections communales et législatives de 2025 ont été publiés au niveau national le 10 et le 11 juin, dévoilant un paysage politique largement dominé par le Conseil national pour la défense de la démocratie – Forces de défense de la démocratie (CNDD-FDD). Toutefois, cette victoire est déjà contestée par l’opposition, qui soulève des doutes sur la transparence du processus électoral.
Du 13 mai au 2 juin 2025, plusieurs acteurs politiques et indépendants ont battu campagne pour les législatives et les conseillers communaux. À l’arrière-plan, la rareté des carburants et des épisodes d’intolérance ont entaché la mobilisation, révélant à la fois l’ambiance démocratique et les difficultés à garantir une campagne apaisée.
À l’approche des législatives et des communales, la question des cartes d’électeurs non retirées ou égarés a suscité une vive inquiétude parmi les acteurs politiques burundais. C’était lors de la séance de briefing des observateurs organisée par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) ce mardi 3 juin.
Le Rectorat de l’Université du Burundi a rejeté, dans un communiqué du 21 mai 2025, les accusations de violences imputées aux « Imbonerakure », les qualifiant de mensongères et assurant qu’aucune plainte n’a été déposée. Pourtant, sur le terrain, de nombreux étudiants décrivent un climat de peur et une situation de racket au campus Mutanga. Ces témoignages, concordants et nombreux, soulignent une réalité d’abus de pouvoir et de violences malgré le démenti officiel.