La hausse vertigineuse du prix du ciment Buceco 32.5R et 42.5R, décidée par l’entreprise Buceco le 19 août 2024, a des répercussions importantes sur l’économie burundaise et le quotidien des citoyens. Cette décision affecte particulièrement les projets de construction pour les particuliers, tandis que les coûts de la vie continuent d’augmenter.
En pleine pénurie de carburant, la ville de Bujumbura fait face à une situation de plus en plus tendue concernant l’utilisation des deux-roues. Malgré des autorisations en règle délivrées par la mairie, de nombreux citoyens voient leurs vélos et motos confisqués par les forces de l’ordre. Entre corruption, manque de coordination et incompréhension, cette situation met à nu en certains dysfonctionnements de l’administration de la mairie de Bujumbura.
La hausse des prix des fournitures scolaires vient s’ajouter aux nombreuses difficultés économiques que rencontrent les Burundais. Les familles sont accablées et l’avenir de l’éducation est menacé. Face à l’inflation et aux initiatives communautaires, des solutions doivent être trouvées pour alléger ce fardeau.
Au Burundi, la traite des personnes persiste sous des formes modernes, touchant principalement les femmes et les filles migrantes. Alors que le monde commémore l’abolition de la traite négrière, chaque année le 23 août, l’Observatoire national pour la lutte contre la criminalité transnationale (ONLCT) alerte sur l’ampleur de ce fléau.
Entre 1970 et 2018, le Burundi a perdu environ 6 milliards de dollars à cause de la fuite des capitaux. Ces données proviennent d’une étude menée par le Pr Léonce Ndikumana, co-auteur du livre « La fuite des capitaux d’Afrique : les pilleurs et les facilitateurs ». Révélées lors d’une conférence-débat sur cet ouvrage, ces informations démontrent à quel point ce fléau affecte l’économie burundaise. Trêve de paroles, scandent certains politiques et activistes de la société civile.
L’Université du Burundi a organisé ce mercredi 21 août un colloque international de deux jours sur la conservation de la biodiversité et le développement durable au Burundi. Divers chercheurs de divers horizons sont venus partager leurs résultats de recherches et discuter des moyens de renforcer l’impact de leurs travaux. Mais, malgré l’importance de telles initiatives, la recherche au Burundi fait face à de multiples défis, notamment en matière de financement et d’infrastructures.
Le Burundi a vu s’envoler environ 6 milliards de dollars entre 1970 et 2018. Ces chiffres, tirés de l’étude du Pr Léonce Ndikumana, co-auteur du livre ’’La fuite des capitaux d’Afrique : les pilleurs et les facilitateurs’’, ont été révélés lors d’une conférence-débat sur cet ouvrage. Selon lui, cette fuite massive des capitaux représente une véritable menace pour le développement économique du Burundi et de nombreux pays africains.
Lors de la récente réunion du conseil des ministres, Marie Chantal Nijimbere, ministre burundaise du Commerce, a présenté une note officielle pour l’adhésion du Burundi au Comité intergouvernemental permanent du transport maritime (ISCOS), désormais connu sous le nom d’Organisation maritime (…)
Dans le cadre de la Journée internationale de la jeunesse, célébrée le 12 août de chaque année, des questions d’employabilité et de chômage chez les jeunes burundais se posent, ce sont de véritables défis auxquels ils sont confrontés. Bien que les efforts de l’État portent des fruits, ils ne suffisent pas encore à résoudre ces problèmes.
Le Mouvement d’Actions Patriotiques MAP-BURUNDI BUHIRE a clarifié sa non-affiliation à la CRN (Coalition pour la Renaissance de la Nation). Dans un communiqué de presse publié le 12 août, il réaffirme également son engagement pour l’État de droit et la laïcité.
Dans les rues de Bujumbura, les déchets plastiques s’accumulent, jonchent les caniveaux et les espaces publics. Les conséquences sont multiples comme l’insalubrité, l’obstruction des caniveaux et des égouts, la prolifération de insectes nuisibles et de rongeurs. Face à ces défis, une initiative se démarque en apportant une solution innovante et écologique : recycler les plastiques en fabricant des pavés.
Le 7 août de chaque année, le monde célèbre la Journée mondiale pour l’éducation. Au Burundi, cette journée rappelle les nombreux défis auxquels le système éducatif est confronté, notamment les infrastructures insuffisantes, la qualité de l’enseignement et le manque de ressources pédagogiques. Face à ces obstacles, la pédagogie numérique apparaît comme une solution prometteuse pour améliorer le capital humain du pays.