Répudiée manu militari, déclarée morte alors qu’elle est encore en vie, la non-exécution des décisions judiciaires et administratives, mauvais traitements sous le toit conjugal, telles sont quelques-unes des difficultés subies par Léocadie Bampendubwenge.
Affaire Tony Germain Nkina, des magistrats révoqués, plus de 4 mille détenus déjà graciés, mise en place des notables collinaires et abolition de l’institution des Bashingantahe ont, entre autres points, marqué l’année 2022.
Plus de 500 dossiers traités et clôturés, décentralisation de l’institution au niveau local, descente dans différents lieux de détention … Des actions à l’actif d’Edouard Nduwimana, ex-ombudsman. Il s’est attribué la mention excellence lors de la présentation du bilan de ses six ans à la tête de cette institution. « Une autoglorification », critiquent les politiques. Côté société civile, son bilan ne fait pas l’unanimité.
A la veille du lancement des 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre (VBG), d’aucuns s’interrogent sur les VBG faites aux hommes. Des cas d’hommes assassinés, battus, chassés ou abandonnés, cas de suicide … sont quelques-unes des violences subies par les hommes dans les ménages. Iwacu a recueilli quelques témoignages.
Le Cndd-Fdd a ouvert, ce mercredi 16 novembre à sa permanence nationale sise à Ngagara en mairie de Bujumbura, une semaine dédiée aux vaillants combattants. Une occasion, selon Révérien Ndikuriyo, secrétaire général du Cndd-Fdd, de faire un regard sur le passé afin de préparer l’avenir. Pour le chef de l’Etat, un vrai combattant doit avoir un seul ami et celui-ci n’est que sa patrie.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Aloys Baricako.
Une nouvelle confrontation a eu lieu vendredi 28 octobre entre les agriculteurs de la Cogerco et ceux de la canne à sucre sur le terrain en conflit dans la commune de Gihanga. Les agriculteurs du coton se disent dépassés par les événements. Ils demandent une protection auprès de l’autorité compétente.
Lors de l’émission des porte-paroles des institutions du 30 septembre à Kayanza, celui du ministère de l’Intérieur a fait savoir que les victimes des inondations de la commune Mutimbuzi seront délocalisées vers les provinces Cibitoke et Rumonge. Une annonce différemment appréciée par ces déplacés.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Anicet Niyonkuru.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Me Jean Samandari.
Alors que les officiels burundais annoncent que les frontières burundo-rwandaises demeurent fermées, le reportage mené par Iwacu montre que les frontières ont bel et bien rouvertes. Une situation très étrange qui peut mettre en danger les citoyens des deux pays.
Dans le Burundi traditionnel, le soir, au coin du feu, la famille réunie discutait librement. Tout le monde avait droit à la parole et chacun laissait parler son cœur. C’était l’heure des grandes et des petites histoires. Des vérités subtiles ou crues. L’occasion pour les anciens d’enseigner, l’air de rien, la sagesse ancestrale. Mais au coin du feu, les jeunes s’interrogeaient, contestaient, car tout le monde avait droit à la parole. Désormais, toutes les semaines, Iwacu renoue avec la tradition et transmettra, sans filtre, la parole longue ou lapidaire reçue au coin du feu. Cette semaine, au coin du feu, Sixte Vigny Nimuraba.