Depuis plusieurs jours, dans les communes de la province de Bujumbura, le sucre de la Sosumo est toujours rare. Seul le sucre en provenance de la Tanzanie et de la RD Congo domine sur le marché et à un prix élevé. L’Abuco appelle l’autorité publique à protéger le petit consommateur à faibles moyens. L’Olucome essaie de trouver des explications à la situation.
Seule l’Anagessa a le droit d’exporter les grains de maïs collectés d’après le ministère ayant l’agriculture dans ses attributions. Certains commerçants critiquent ce monopole en indiquant que ce dernier va affecter même les impôts et taxes. Pour l’Olucome, le gouvernement devrait s’attacher à organiser la population et à promulguer des lois qui facilitent le commerce.
Dans l’exercice 2024-2025, le ministère ayant les infrastructures dans ses attributions avait un budget annuel de plus de 329 milliards de BIF. Cependant, seuls 30% du montant prévu a été utilisé dans le secteur des infrastructures selon Faustin Ndikumana. Ce dernier appelle le gouvernement à promouvoir la crédibilité des investisseurs et des bailleurs de fonds. L’Olucome parle quant à lui de budget programme.
Des capitaux insuffisants, un manque de technologies avancées, un manque de terres cultivables, un manque d’hypothèques pour accéder aux crédits dans les banques… Tels sont des problèmes auxquels font face les entrepreneurs des micros, petites et moyennes entreprises (PME) au Burundi.
500 familles de la zone Gatumba de la commune Mutimbuzi dans la province de Bujumbura ont bénéficié de cartes d’assurance maladie (CAM) ainsi que des cartes de fonds d’ambulance. Ces dernières ont été octroyées par l’organisation Action contre la pauvreté (ACP), ce jeudi 26 juin 2025.
Bénéficier d’assistance en matériel de construction, avoir droit aux compteurs du courant électrique, être soutenus dans leurs projets, … Ce sont les doléances adressées aux nouveaux élus par les habitants du site de déplacés de Ryanyoni, zone Kabanga, commune Giheta de la province Gitega.
Le 18 juin 2020, Évariste Ndayishimiye prenait les rênes du pouvoir au Burundi. Cinq ans plus tard, son action apparaît comme un savant mélange d’avancées sensibles et de difficultés persistantes. À travers les domaines politique, économique et diplomatique, ce panorama retrace les réalisations majeures, les zones d’ombre et les défis qui ont jalonné les cinq ans.
Se soucier du bien-être de la population, former les femmes en gestion financière, réhabiliter les routes, multiplier les écoles et les adductions d’eau potable, fournir de l’électricité suffisante, … Telles sont les préoccupations qui devaient être à l’agenda des nouveaux élus selon les jeunes et les femmes de la commune et province actuelle de Gitega.
La pénurie d’eau s’est aggravée dans la capitale économique Bujumbura. Plusieurs quartiers n’ont aucune goutte d’eau. Les habitants passent des heures et des heures dans les rues, avec des seaux ou des bidons, à la recherche d’un point d’eau. Ils appellent au secours à la Regideso.
Plus de 5 milliards de BIF de crédits accordés aux coopératives Sangwe de Kirundo et de Ruyigi sont impayés, comme l’indique le rapport provisoire du ministère des Finances. Selon Faustin Ndikumana de l’organisation Parcem, cette dette a des conséquences néfastes sur la situation économique.
Ce lundi 26 mai, les élèves de la 9ème année ont commencé le concours national édition 2025 donnant accès au post fondamental. Signalons que l’effectif au niveau national des élèves prévus pour passer le concours national s’élève à 85.210 dans (…)
Depuis plus d’une semaine, des conducteurs de taxis attendent du carburant devant la station-service Musaga oil comme recommandé par la Sopebu, la Société pétrolière du Burundi. Privés d’essence, de revenus et d’espoir, ces taximen dénoncent une inégalité de traitement et (…)