Dans la zone urbaine de Bwiza les coupures intempestives d’électricité persistantes et bloquent les activités quotidiennes des habitants. Plusieurs cafétérias sont fermées, les salons de coiffure et les secrétariats publics. Ceux qui ont les moyens font recours aux groupes électrogènes. (…)
Dans le quartier de Kibenga-Lac, les eaux du lac Tanganyika menacent les ménages. Plusieurs maisons sont inondées par ces eaux, certains propriétaires ont quitté complètement leur maison suite à ces inondations. L’urgence de déplacer la population vivant près des rives (…)
Aucun officiel n’est venu accueillir ces joueurs de l’équipe Dynamo et sa délégation. Après leur sortie de l’aéroport, ils se sont empressés de monter dans un bus de la compagnie Tramwex venu les prendre.
Au centre-ville de Bujumbura, sur les parkings des bus, on observe de longues lignes de gens en attente de bus à cause de la pénurie du carburant. Des voleurs en profitent pour piquer les biens des passagers surtout le soir.
On assiste à des vols sur la passerelle située à la jonction du boulevard de l’Uprona et l’avenue de la mission, au centre-ville de Bujumbura, à partir de 17h. Les passants disent qu’ils ont peur d’y passer pendant les heures du soir. Ils demandent que cette passerelle soit éclairée.
Le 8 mars 2024, dans la capitale économique Bujumbura, les femmes se sont associées aux autres femmes du monde entier pour célébrer la journée qui leur est consacrée. Du folklore mais aussi de bonnes actions en faveur de la femme burundaise ont caractérisé la journée.
Des cas de viols ne cessent d’augmenter dans le pays, des violences conjugales rapportées dans tout le pays, la faible représentativité des femmes dans les sphères de prises de décision, loi sur la succession encore dans les tiroirs, des revendications existent. Pour plusieurs observateurs, la journée du 8 mars n’est pas pour le folklore.
Des cas de viols ne cessent d’augmenter dans le pays, des violences conjugales rapportées dans tout le pays, la faible représentativité des femmes dans les sphères de prises de décision, loi sur la succession encore dans les tiroirs, des revendications existent. Pour plusieurs observateurs, la journée du 8 mars n’est pas pour le folklore.
On observe la pénurie de certaines boissons de la Brarudi notamment les bières Primus et Amstel. La Brarudi explique la raison de cette pénurie. « La pénurie de nos produits sur le marché est liée à des défis logistiques sur (…)
Depuis plusieurs mois, le sucre est une denrée devenue rare dans la capitale économique Bujumbura. Là où on arrive à le trouver, les gens sont sur des files indiennes à attendre avant d’être servis. Ils se disputent même de temps en temps. Les citadins se demandent ce qui s’est passé à la Société sucrière de Moso (Sosumo).
Une pénurie d’eau de la Regideso s’observe au marché Cotebu. Les responsables du marché et les commerçants qui y exercent leurs activités parlent d’une situation difficile à gérer. Surtout qu’un grand nombre de personnes se rencontrent dans ce lieu de négoce. Ils craignent la contagion des maladies causées par la saleté.
La pénurie des boissons de la Brarudi est devenue un phénomène récurrent dans la ville de Bujumbura, la capitale économique du Burundi. Les vendeurs des produits Brarudi se lamentent d’énormes manques à gagner. Les consommateurs en sont aussi inquiets.