Discours d’Antoine Kaburahe, Directeurs des publications du Groupe de presse Iwacu
La Directrice de la banque kényane KCB au Burundi : « Nous avons financé le projet de l’imprimerie du Groupe de Presse Iwacu car la mission de la KCB est d’ajouter de la valeur à l’économie par le financement des projets durables.»
Poignée de main entre Antoine Kaburahe et Saxe Perry Gateka, après la signature de la convention pour la création de la radio Iwacu-Humuriza FM, qui émettra de Gitega sur six provinces
Poignée de main entre le Rédacteur en chef d’Iwacu et le ministre Tharcisse Nkezabahizi
La soirée sera ponctuée d’une visite de l’imprimerie Iwacu
L’ambassadeur des Pays-Bas au Burundi, M. Jolke Oppewal, a salué notamment les enquêtes d’Iwacu et a annoncé le lancement prochain d’un concours de bande-dessinée à partir des caricatures d’Iwacu.
Saxe Perry Gateka, le créateur et directeur de la radio Humuriza FM, fier du partenariat avec le Groupe de presse Iwacu
Autre soutien important du groupe de presse Iwacu : la Suisse. Ici, le discours de la Directrice de la Coopération Suisse
Petite surprise de la soirée : le cadeau à Antoine Kaburahe offert par le personnel d’Iwacu. Une œuvre du sculpteur burundais Bernard Bigendako représentant une famille
Discours Jean-Marie Ngendahayo, fidèle lecteur d’Iwacu et contributeur éditorial, avec sa rubrique d’opinion « A propos de … »
Le premier secrétaire de l’Ambassade de la Belgique au Burundi s’est joint aux autres intervenants pour saluer le travail d’Iwacu
Deux invités de marque autour du professeur Nicodème Bugwabari : le ministre en charge de la Communication, à gauche, et le chef de la diplomatie burundaise, à droite
Selon l’ambassadeur des USA au Burundi, « le Groupe de presse Iwacu est un modèle de ce qui peut être fait en mettant toutes les énergies et les talents de ce beau pays ensemble. » Mme Dawn Liberi encourage également le gouvernement burundais « à protéger la liberté de la presse et à prendre toutes les mesures nécessaires pour créer un environnement où les journalistes peuvent travailler librement, de manière indépendante et sans peur. La chasse aux journalistes n’a pas de place dans un État démocratique »
Vue partielle des invités à la soirée
Les médias du Burundi perdent un grand professionnel
Le discours qui a clôturé la soiré est celui du Ministre en charge de la communication
Membres du Club des amis d'Iwacu
Connectez-vous à votre espace et bénéficiez de tous vos avantages
Pas encore membre ?
Rejoignez le Club des amis d'Iwacu et bénéficiez de l'offre d'informations la plus complète sur le Burundi