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Si le journaliste (la victime) connaît ou a le moyen de connaître le nom d’au moins un des agresseurs, son employeur (le média) devrait déposer une plainte formelle au tribunal contre l’agresseur, l’université et les responsables de la sécurité qui ne l’ont ni secouru ni protégé.
C’est bien beau demander l’ouverture d’une enquête, mais on ne devrait pas s’arrêter à seulement cela. Il faut les forcer à répondre.