Le président du CNL, le principal parti d’opposition, clame haut et fort que son parti n’est pas associé aux groupes armés basés à l’est de la RDC, comme le chef de l’Etat l’a laissé entendre et qu’il n’est pas responsable des manifestations hostiles au pouvoir burundais organisées à Bruxelles ce samedi 19 février devant le Conseil de l’UE.
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Apprenons à savoir que les dirigeants et leurs adversaires politiques ne vont pas avoir un même point de vue. Cependant, les dirigeants ne doivent pas les considérer comme les ennemis de la nation c’est tout. Qui est arrivé au pouvoir sans s’opposer à celui qui est en place ? Il y en a même qui prennent des armes. Mais, aujourd’hui, espérons que le Burundi a dépassé ce stade.
Qu’il y ait concurrence entre programmes des uns et des autres et qu’ils nous indiquent comment ils vont améliorer notre lendemain qui est incertain aujourd’hui pour le plus grand nombre de Barundi.