Le Burundi était en mode offensif diplomatique, depuis mardi 19 février, pour faire réviser la décision de l’UA : le retrait de 1000 soldats burundais de l’Amisom. Fort du soutien du président somalien, Gitega s’est engagé dans un bras de fer perdu d’avance.
La deuxième force politique s’est dotée d’un parti politique. Cela marque-t-il un tournant dans le paysage politique ? Quel est le sort de la coalition Amizero y’Abarundi ? Eléments de réponses.
Des dépliants ont été distribués par la délégation gouvernementale en marge du 32e sommet de l’UA évoquant le mandat d’arrêt du président Pierre Buyoya. Des tracts à mobile politique, selon le concerné.
Le ministère de l’Intérieur a agréé, jeudi 14 février, le parti Congrès National pour la liberté Ubugabo si urucumu d’Agathon Rwasa. Explosion de joie de l’opposition.
Mkapa qui annonce la fin d’une facilitation en panne, les chefs d’Etat de l’EAC qui décident que la question du dialogue va être étudiée plus tard, etc. Un sommet qui a ignoré la crise burundaise.
Alors que le dialogue burundais est en panne, un sommet des chefs d’Etat de la sous-région se tient vendredi 1er février. Que peut-on attendre de cette session ? Eléments de réponses.
Les responsables de l’Union africaine se sont insurgés contre l’image transmise dans les médias d’une Afrique pauvre, sous la coupe de dictatures, corrompue et qui pousse son peuple à fuir vers l’Europe.
Par Agnès Ndirubusa, envoyée spéciale à Bruxelles Le ministre belge des Affaires Etrangères espère une relance de la logique du dialogue inter-burundais lors du prochain sommet des chefs d’Etat de l’EAC du 1 er février à Arusha en Tanzanie. Dans (…)
28 fautes lourdes. Le président du parti Uprona Abel Gashatsi est accusé par 20 membres du bureau exécutif du comité central de son parti Uprona. Ses camarades le somment de démissionner. Il a 15 jours pour convoquer la réunion du (…)
La coalition de l’opposition en exil subit défection sur défection. Certains observateurs pensent qu’elle vit ses dernières heures. Est-ce que tout est perdu pour la coalition ? Eléments de réponse.
Des leaders des partis politiques se sont réunis le 4 janvier pour analyser l’avant-projet de loi portant modification du Code électoral. D’autres regrettent de n’avoir pas été associés alors que l’enjeu est important
Référendum constitutionnel, feuille de route de Kayanza, dialogue d’Arusha et l’annonce du président de ne pas se présenter aux élections, les évènements qui ont marqué l’année écoulée.