Six jours après la disparition de notre collègue Jean Bigirimana, le vendredi 22 juillet 2016, le Groupe de Presse Iwacu lance un appel a témoin. En effet, dans le souci d’aider la justice dans la recherche de notre confrère, Iwacu invite toute personne susceptible de détenir une information sur les circonstances de son arrestation ou sur les lieux de son incarcération à nous contacter sur cette adresse mail et l’anonymat sera respecté.
[email protected]
Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web. Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus, mais une information rigoureuse, vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vous proposer un journalisme ouvert, pluraliste et indépendant.
Chaque contribution, grande ou petite, permet de nous assurer notre avenir à long terme.
Soutenez Iwacu à partir de seulement 1 euro ou 1 dollar, cela ne prend qu'une minute. Vous pouvez aussi devenir membre du Club des amis d'Iwacu, ce qui vous ouvre un accès illimité à toutes nos archives ainsi qu'à notre magazine dès sa parution au Burundi.
« Les décisions prises par la CVR ne sont pas susceptibles de recours juridictionnels. » C’est la disposition de l’article 11 du projet de loi portant réorganisation et fonctionnement de la Commission Vérité et Réconciliation analysée par l’Assemblée nationale et le Sénat (…)
Iwacu est distribué dans les vols de la Lufthansa, via un partenariat avec Media Carier
Dans notre chère partie se passe des choses difficiles à comprendre! Les médias nous disent qu’il avait été arrêté mais la police dit qu’elle n’a jamais été arrêté alors que ce qui lui est réellement arrivé? Dans un pays où les civiles portent des armes et parfois vêtus en vêtements policières et militaires, il faut de la sagesse dans les enquêtes!
Merci I Wacu de continuer de vous battre pour la libération de ce jeune innocent… ! ..Son enlèvement est un scandale ! Comme si ce qu’ils ont déjà perpétré comme crimes contre l’humanité y compris viols, tortures et exécutions extrajudiciaires ne suffisait pas, ils ajoutent l’enlèvement et la séquestration dans un lieu inconnu de ce jeune journaliste innocent… ! Tôt out tard, ils paieront de leurs actes… ! Que Jean BIGIRIMANA soit libéré et ce le plus vite possible… ! Monsieur NKURUNZIZA, en sa qualité de premier magistrat du Burundi doit s’impliquer personnellement et ordonner à ses polices de tout faire pour retrouver et libérer cet innocent… ! .