Les résultats provisoires des élections communales et législatives de 2025 ont été publiés au niveau national le 10 et le 11 juin, dévoilant un paysage politique largement dominé par le Conseil national pour la défense de la démocratie – Forces de défense de la démocratie (CNDD-FDD). Toutefois, cette victoire est déjà contestée par l’opposition, qui soulève des doutes sur la transparence du processus électoral.
Stabiliser les prix, résoudre le problème de carburant, achever la réhabilitation de la RN3, assister les sinistrés des inondations, combattre le chômage, assurer la réconciliation effective, …. Telles sont, entre autres, les attentes des femmes et des jeunes de la commune Muhuta par rapport aux législatives et communales de 2025.
Changement des lieux de vote, vote par procuration, utilisation de l’encre indélébile, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) donne des directives à suivre. Le scrutin pour les législatives et les communales étant fixé au 5 juin 2025.
Distribution d’eau potable en commune Rugombo, budget affecté annuellement à ce secteur, projets en cours, …. C’était au menu de la Tribune d’expression populaire (TEP) réalisée à Cibitoke, en commune Rugombo, le 8 mai 2025, par les médias en partenariat avec l’ONG La Benevolencija.
L’annonce a été faite par Dr Isaac Alukwe, coordonnateur régional du programme d’action subsidiaire des Lacs Equatoriaux du Nil (NELSAP-CU).
Stabiliser les prix, résoudre le problème de carburant, valoriser les produits agricoles locaux, assister les sinistrés des inondations, créer de l’emploi, résoudre le problème d’eau potable, achever le bitumage de la RN7, …. A Rumonge, la liste des attentes des jeunes et des femmes est longue à l’endroit de la nouvelle législature.
Lors du lancement de la campagne électorale, le président de la République Evariste Ndayishimiye avait fait une promesse claire : « Le carburant sera disponible dans tout le pays durant toute la campagne électorale. » Dans la foulée, il a appelé les administratifs, les partis politiques et les indépendants à veiller à ce que la campagne électorale se déroule dans un climat apaisé. Malheureusement, sur terrain, la réalité est toute autre. Le carburant est une denrée rare et les cas d’intolérance politique sont observés.
Depuis le 13 mai 2025, la campagne électorale pour les élections législatives et communales du 5 juin prochain se déroule. Nombre d’observateurs se posent une question : élections législatives et communales ou élection présidentielle ? Dès le début de la campagne, ce sont le président de la République, le secrétaire général du CNDD-FDD et les autres présidents des partis politiques en compétition qui dominent la scène. Pour certains, il fallait laisser la place aux candidats à la députation et aux conseils communaux.
Gestion du sol et de l’eau, spécialisation régionale, recherche-vulgarisation,… des actions à mener pour un développement durable de l’agriculture au Burundi selon les différents intervenants dans le secteur. Ils appellent aussi à la bonne gouvernance et au respect des engagements.
Il y a quelques jours, la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a lancé le recrutement des membres des bureaux de vote. Nombre de politiques dénoncent le déroulement de cette opération car, selon eux, les militants du parti CNDD-FDD ont été privilégiés partout dans le pays. Pour certains d’entre eux, le processus électoral est faussé dès le départ.
Ce vendredi, 9 mai 2025, au Stade Ingoma de Gitega, au centre du pays, le président Evariste Ndayishimiye, a lancé solennellement la campagne électorale pour les législatives et les communales du 5 juin prochain. Un défilé des partis politiques, des indépendants, … a marqué cet évènement. Une occasion pour le président de la République d’appeler tous les acteurs à veiller au bon déroulement de la campagne et des élections. Reportage.
Parmi les directives du président de l’Assemblée nationale à la nouvelle équipe de la Commission nationale indépendante des droits de l’Homme, élue ce lundi 5 mai, figure une mission : faire comprendre aux différentes instances chargées du respect des droits humains de retirer le Burundi de leur agenda.