Plusieurs localités du Burundi manquent cruellement d’eau potable malgré toute une multitude de sources d’eau à travers tout le pays. Certaines collines des communes Nyabihanga et Kayokwe de la province de Mwaro sont également touchées. Les habitants demandent aux autorités compétentes d’agir en leur faveur pour éviter des maladies des mains sales.
Lorsqu’un groupe se trouve empêché de s’exprimer, à la longue, la situation ne fait que s’empirer. Selon les habitants de la colline Saswe, commune Kayokwe de la province de Mwaro, les frustrations accumulées peuvent exploser en violence.
L’Agence nationale de Gestion du stock de sécurité alimentaire, Anagessa a débuté la collecte du surplus de maïs auprès des agriculteurs depuis le 19 février 2024. Parmi les défis figure le retard de paiement pour les quantités reçues. Les agriculteurs des communes Kayokwe et Nyabihanga n’en reviennent pas
Dans une société post-conflit, les messages globalisants peuvent catalyser les conflits. Certains militants des partis politiques reviennent sur cette question épineuse de la globalisation qui affecte les relations humaines. Le socio-anthropologue Tharcisse Bimenyimana appelle à la vigilance pour ne pas tomber dans le piège.
Depuis plusieurs mois, le Burundi est confronté à une série de pénuries des carburants. Comme conséquences notamment, les déplacements par bus deviennent une véritable équation à plusieurs inconnues. Les élèves sont touchés et la ponctualité exigée à l’école en souffre. Ces conditions d’apprentissage difficiles mettent les parents et les enseignants en alerte. Ils appellent le gouvernement à tout faire pour un retour à la normale.
La population de la commune Gitega, zone Mubuga demande plus d’équité et de transparence dans la commercialisation du sucre. Pour elle, l’administration doit s’assurer que tout le monde est servi.
Le président de la République Evariste Ndayishimiye a rencontré le vendredi 3 mai 2024 à Buye, commune Mwumba, en province de Ngozi, tous les intervenants dans la filière café dans le cadre de redynamiser ce secteur qui est la première source de devises au Burundi. Selon le chef de l’Etat burundais, le Burundi perd plus de 47 millions de dollars américains par an. Cette situation est constatée même dans les filières thé et coton.
Dans la foulée de la réunion du Comité central du parti CNDD-FDD tenu à Ngozi les 22 et 23 avril, le secrétaire général de ce parti a décrit un Burundi extraordinaire : prospère et stable. Une prophétie autoréalisatrice ? Des réactions fusent de partout.
Le concubinage est considéré comme l’une des violences basées sur le genre qui est loin d’être éradiquée. Ces derniers temps, dans les provinces de Kayanza et Ngozi, les autorités s’efforcent de chasser les concubines. Cette mesure polémique qualifiée d’illégale a des conséquences graves sur les enfants issus de ce genre d’unions.
En moins d’un mois, deux chauffeurs de taxi ont été enlevés, tués et leurs voitures volées. Les autres travaillent dans la panique surtout la nuit puisque de tels cas sont devenus monnaie courante. La Police nationale tranquillise. Elle dit avoir déjà démantelé un groupe de criminels à Kanyosha
Lors d’une conférence de presse animée par le porte-parole du ministère de l’Intérieur, du développement communautaire et de la Sécurité publique, ce mardi 26 mars, il a été reproché à certains fidèles d’Agathon Rwasa de se livrer à des actes (…)
Arrestations, emprisonnements, traque, peur ; les Inyankamugayo, fidèles d’Agathon Rwasa dénoncent une « chasse à l’homme » et craignent le pire après la validation, par le ministre burundais de l’Intérieur, des conclusions du congrès extraordinaire tenu à Ngozi, dimanche le 10 mars 2024. Certains politiques s’expriment.