Lors de la séance plénière du 23 septembre 2024, la Commission permanente des députés chargée des finances a présenté le Rapport définitif d’audit de la capacité de gestion budgétaire pour la période 2020-2021 à 2022-2023 réalisé par la Cour des comptes. Ce dernier a mis en évidence plusieurs lacunes majeures affectant l’efficacité du ministère de la Fonction Publique.
À l’occasion de la Journée internationale de la Paix célébrée chaque 21 septembre, l’Observatoire National pour la prévention et l’éradication du génocide, des crimes de guerre et des autres crimes contre l’humanité (ONPGH) a lancé un vibrant appel à la paix, rappelant les cicatrices du passé douloureux burundais et les enjeux de l’avenir.
Pour remplacer les enseignants partis à la retraite, le ministère prévoit de rapatrier ceux qui ont été déployés dans des provinces éloignées de leurs familles. Cependant, des problèmes subsistent concernant le remplacement des enseignants déployés dans les écoles qu’ils quittent.
À l’occasion de la Journée mondiale de la démocratie, célébrée chaque année le 15 septembre, l’organisation PARCEM a organisé ce mardi 17 septembre 2024, à l’hôtel City Hill, une conférence-débat sur le thème : « Le rôle des élections dans le renforcement de la démocratie et de la stabilité politique. Quelles suggestions pour les échéances électorales 2025-2027, 2030, 2034 et 2035 ? »
Un lock-out silencieux des transporteurs suite à une note du Ministère de l’intérieur fixant les tarifs des transports en commun en date du 9 septembre 2024. Au parking de Musaga, au parking du marché dit Cotebu, c’était une journée inédite. Des parkings déserts, des chauffeurs exaspérés, une situation traduisant un mécontentement face à la nouvelle politique tarifaire.
Ce qui devait être une simple réunion syndicale s’est transformé en véritable champ de bataille, marqué par des affrontements violents et la répression brutale des journalistes venus couvrir l’événement, témoignant ainsi des tensions extrêmes au sein du SYVBU.
Le 15 septembre de chaque année, le monde célèbre la Journée internationale de la démocratie. C’est l’occasion de revenir sur l’histoire, l’état, les défis et les solutions concernant ce système politique, notamment pour le Burundi. Le Burundi, comme beaucoup d’autres nations, s’efforce d’instaurer une démocratie stable et fonctionnelle. Pourtant, son histoire politique, marquée par des périodes de monopartisme, de coups d’État et de guerres civiles, témoigne d’une trajectoire semée d’embûches.
Sur les 313 institutions étatiques et paraétatiques concernées, seules 43 ont soumis leurs comptes à la Cour, soit un maigre taux de 13,7 %.
Le calvaire judiciaire du Dr Sahabo a pris une tournure dramatique ce mardi. Le médecin a été victime d’un malaise en plein procès, mettant en lumière les conditions de détention déplorables dans lesquelles il est maintenu à la prison de Ruyigi.
Ces derniers jours, le Burundi a signé des mémorandums avec des partenaires internationaux afin de permettre l’exportation directe du café burundais. Cependant, les producteurs se plaignent depuis longtemps des faibles revenus qu’ils perçoivent, malgré leur dur labeur.
Le transfert de la gestion des enseignants aux administrateurs communaux inquiète profondément certains syndicats et les enseignants. Une réforme controversée qui risque de bouleverser le paysage éducatif burundais.
Le ministère de l’Éducation nationale et de la Recherche Scientifique a annoncé le 2 septembre 2024 la note minimale pour accéder au post-fondamental. C’est 32 % pour accéder au post-fondamental externe et 50,5 % pour l’internat. Ces notes ont suscité de vives réactions de la part de certains syndicats des enseignants. Des parents déplorant la baisse de la qualité de l’enseignement au Burundi.