Le projet de Constitution accorde, en son article 289, un délai de 5 ans au Sénat pour évaluer la suppression ou la prorogation des quotas ethniques dans les institutions. Une disposition différemment interprétée par la classe politique burundaise.
Contrairement à la Constitution de 2005, le projet de Constitution prévoit, en son article 271, que la commune sera administrée par l’administrateur sous la supervision du conseil communal. Certains administrateurs parlent d’avancée significative.
Au moment où l’article 1 du projet constitutionnel réaffirme que le Burundi est une République, l’article 4 prévoit que la restauration de la monarchie doit faire l’objet d’un référendum. Une disposition différemment interprétée par la classe politique burundaise.
Le comité central du parti Cndd-Fdd a entériné, au cours de sa réunion du 9 au 10 mars à Ngozi, un pacte appelant chaque membre à consacrer chaque jeudi au jeûne et à la prière.