Au moment où Agnès Ndirubusa, Christine Kamikazi, Egide Harerimana et Térence Mpozenzi, tous reporters d’Iwacu, viennent de passer une année à la prison de Bubanza, le directeur des publications de ce Groupe de presse en appelle ce jeudi à la grâce présidentielle.
A nos chers lecteurs
Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web. Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus, mais une information rigoureuse, vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vous proposer un journalisme ouvert, pluraliste et indépendant.
Chaque contribution, grande ou petite, permet de nous assurer notre avenir à long terme.
Soutenez Iwacu à partir de seulement 1 euro ou 1 dollar, cela ne prend qu'une minute. Vous pouvez aussi devenir membre du Club des amis d'Iwacu, ce qui vous ouvre un accès illimité à toutes nos archives ainsi qu'à notre magazine dès sa parution au Burundi.