Samedi 20 avril 2024

Politique

« Nous ne dialoguerons pas avec les hors la loi ! »

Dans une conférence publique tenue à Gitega ce 30 décembre, le président de la République a répondu aux questions des journalistes et celle des auditeurs.

le président de la République
le président de la République

D’après lui, ceux qui se sont présentés comme opposants persécutés lors des négociations d’Entebbe sont recherchés par la justice burundaise.

« Au lieu de les amener dans les négociations, que les Nations Unies les arrêtent et les mettent à la disposition de la justice burundaise », a-t-il dit, sans pour autant préciser si le gouvernement sera présent ou non à Arusha le 6 janvier 2016.
Sur la violation de la constitution et l’Accord d’Arusha que la communauté internationale reproche à Pierre Nkurunziza, il a dénoncé sa position qui, d’après lui, pratique la politique de deux poids deux mesures.

« Ils crient haro sur nous tandis qu’ils félicitent les autres ailleurs. Ces nations devaient savoir qu’ils nous ont causé des torts en nous condamnant injustement.».

En politique étrangère, il a précisé que certains pays veulent se conduire comme des donneurs de leçon. A la question d’un journaliste qui a demandé à Pierre Nkurunziza pourquoi quelqu‘un qui vient du Rwanda est considéré comme suspect par la police, le numéro un burundais a répondu donné cette réponse :  » C’est le travail des services de sécurité. Moi-même quand je suis à l’étrange, je me conforme aux règles et les lois du pays hôte. Pourvu qu’il ne soit pas persécuté ou arrêté injustement. »

« Le Burundi défendra sa souveraineté !»

Concernant le déploiement des troupes de l’Union Africaine, le président a averti que le pays défendra bec et ongle sa souveraineté « contre les envahisseurs. »

Interrogé sur les récentes déclarations de Paul Kagame sur la situation sécuritaire au Burundi, Pierre Nkurunziza a indiqué qu’il ne pourra pas polémiquer. Par ailleurs, il a assuré que les relations avec le Rwanda resteront bonnes durant tout son règne.

En politique économique, le président a souligné que ce n’est pas le pays qui est pauvre mais que quand tous les citoyens se mettront au travail chacun aura son compte.

« Certains diplômés qui croient qu’ils doivent nécessairement avoir un travail dans le domaine où ils sont qualifiés se trompent. Le diplôme n’a rien à voir avec le travail. Faites tout travail qui se présente à vous pourvu que vous y gagniez quelque chose. »

Sur le sort réservé à ceux qui étaient arrêtés au cours des manifestations et après le coup d’Etat manqué du 13 mai, il a rappelé que la justice est indépendante et qu’il ne peut pas s’ingérer dans son travail. Concernant la fermeture de certaines radios, Pierre Nkurunziza a précisé que certains médias ont des dossiers dans la justice et que leur réouverture dépendra de la décision des tribunaux.

Forum des lecteurs d'Iwacu

27 réactions
  1. KABADUGARITSE

    Et pourtant, l’autre Pierre et son parti, l’Uprona, avait juré ne jamais dialoguer/négocier avec ce qu’il appelait « les tribalo-terroristes génocidaires » et avait même condamné à mort par contumace son homonyme. Il a fini par fléchir mais à quel prix? Seules les veuves et les orphelins des ex-FAB savent. Abaruindi twibagira vuba.-

  2. Ndumiwe

    Peter Aratwenza quand il qualifie ses opposants de hors la loi ou de Mijeri !!!

  3. CESAR

    La crédibilité d’un dirigeant d’un Etat se mesure par ses actions et nullment par ses gesticulations, le tout dansl’intérêt général.
    Un président doit être en état de prouver qu’il est commandant en chef.
    Diriger un pays c’est gérer les intérêts contradictoires. à savoir les petits intérêts personnels et l’intérêt général.
    L’intérêt général prime les autres intérêts de quelque nature que ce soit.
    Les bandes armées, aventuriers formés et armés par Kagame pour décapiter le gouvernement burundais, par leur agissement, ont porté atteinte à l’intérêt général et à l’intérêt vital de la Nation.Il en est de même des tueurs des policiers ainsi que ceux qui ont attaqué les casernes miltaires.
    En l’espèce, la mission du Président Nkurunziza est de les soumettre implacablement à la loi et ce, en tout état de cause. A défaut, il faudra qu’il libère tous les criminels de droit commun qui sont prison pour négocier avec eux voir les dédommager pour préjudice subi.
    L’honneur et la dignité d’un Peuple n’a pas de prix.Un Peuple sans honneur et sans dignité même un chien ne peut le respecter. Pour être respecté, il faut le mériter et corrélativement, il faut le prouver.
    Le Peuple comme le Peuple est Peuple qui vient dyu fond des âges.lls n’ont pas attendu les Belges, américains et je ne sais qui encore pour manger et vivre. Sous peine de mépriser le Peuple Burundais, nul ne peut faire accepter celui-ci ce qui est inaccpetable chez lui. Dans ces pays donneurs de leçons au Président, tuer un policier ou commettre un attentat contre les personnes dans les lieux publics est constitutif d’un crime contre l’Etat lourdement sanctionné c’est-à-dire la prison à vie. Au nom de quoi ces mêmes pays demandent au gouvernement légal du Burundi de négocier avec les assassins des centaines de paisibles Burundais, des policiers militaires? Au nom de quoi ces gens demandent au gouvernement burundais de négocier avec ceux qui ont tenté de décapiter l’Etat Burundais? C’est très maîprisant de la part des ces gens.lls prennent des Burundais et leurs dirigeants pour des zébus. Nkurunziza doit irrévocablement leur prouver le contraire ou que leurs agissements sont inopérant. Il faut surtout que les Burundais soit bien informés des actions menées par le gouvernement. C’est donc la com qu’il faut renforcer. Il ne s’agit pas ici de Nkuruniza mais de la dignité et de l’honneur du Peuple Burundais qui est en jeu. Ce que semblent manifestement ignorer certains burundais, du moins au regard de leurs commentaires sur les événements en cours dans certains quartiers de Bujumbura. Les déclarations de Buyoya sur RFI sont pitoyables et minables pour un ancien président. Il s’est lui-même discrédité. Il en est de même de cellles de Rukindikiza, éditorialiste sur Africa 24. Alors qu’un éditorialiste digne de ce nom a pour tâche d’éclairer les téléspectateurs sur les points thématique précis, Africa 24 est devenu pour lui un outil pour proférer des divagations contre le gouvernement de son pays.Ce qui est extrêmement grave chez Rukindikiza, le président Nkurunziza est un tyran et un voleur qui prépare le génocide contre les Tutsi.Quant à Kagame, il est démocrate, expert dans le bonne gouvernement, un modèle de gestionnaire pour toute l’Afrique qui mérite qu’il fasse la propagande pour son régime.

  4. RUGAMBA RUTAGANZWA

    Ce dont NKURUNZIZA a peur est loin d‘être la présence de soldats de paix mais surtout de ce que cette force permettrait de metre à nu i.e. les représailles dont sont victimes au jour le jour les opposants au trosieme mandat.

    Rappelons pour mémoire que c’est grâce aux forces ouest africaines de l’ECOMOG que de multiples horreurs ayant eu droit de cité sous l’ex-Chef d’Etat du Liberia Charles Taylor ont été relevées. Ces forces ont permis de pacifier le pays.
    Plus récemment, en Côte d’Ivoire ce sont des forces d’interposition qui ont permis de découvrir l’existence d’un fameux charnier à Yopougon, un quartier populaire d’Abidjan. Ces forces ont remporté la victoire sur l’armée nationale ivoirienne de Laurent GBAGBO et a permis à ce pays de se mettre sur les rails de la démocratie et du développement économique.
    Le dernier cas en date est celui de la Centrafrique où la paix n’aurait pas été possible sans l’intervention des forces françaises Sangaris, des forces africaines et onusiennes. C’est grâce à ces forces que les élections viennent d’avoir lieu dans ce pays en proie à l’instabilité politique depuis mars 2013.

    Au vu de ce qui précède, je pesne que Nkurunziza redoute 3 choses qui ont pour nom : la victoire des forces multinationales sur son armée, la mise à nu de toutes les atrocités commises sous son régime, la perte du pouvoir au cas où des élections libres, transparentes et démocratiques seraient organisées après la pacification du pays par la fameuse MAPROBU et enfin l’éventualité d’une comparution devant le Tribunal Pénal International.

  5. Mayisha Gashindi

    Le CNARED a été créé en Ethiopie ds les enceintes de l’Union Africaine comme étant l’interlocuteur unique de ceux qui s’opposent au mandat de Nkurunziza. Ce dernier peut l’accuser de putschiste, et le CNARED peut l’accuser de violeur de la constitution.

  6. Mugumyabanga

    hhh..Il est ridicule ce Monsieur! Entre ceux qui défendent la constitution et les Accords de Paix d’Arusha et celui qui l’a violé pour s’imposer à la tete du pays pour un mandat de trop, alors qui viole la loi et qui la protège?

  7. Patience

    « Sur la violation de la constitution et l’Accord d’Arusha que la communauté internationale reproche à Pierre Nkurunziza, il a dénoncé sa position qui, d’après lui, pratique la politique de deux poids deux mesures.
    « Ils crient haro sur nous tandis qu’ils félicitent les autres ailleurs. Ces nations devaient savoir qu’ils nous ont causé des torts en nous condamnant injustement.». »

    Comme les autres se font felicites quand ils violent leurs constitutions; Je m’attendais aussi aux felicitations mais envain. Bon raisonnement,n’est-ce pas? cette phrase dit beaucoup et je n’ajoute rien.
    Merci Mr le president.

    • Nukuri Jean

      Ne vous emballez pas trop vite: je crois que vous avez oublié le sens du mot  »injustement », qui termine sa phrase.

  8. J.L. Bizabishaka

    Je pense qu’il faut lesser le cour, il n’est plus le tour de Buyoya, et Nkurunziza c’est fini dans presque 4 ans. Donc, violence vous pouvez le faire mais vous serez porter responsable, ce n’est plus comme avant et je pense qu’on est d’accord sauf Mr. Louis Michel, luis qui vais bruler le Burundi. Le Burundi, c’est et sa doit ëtre pour la jeunesse Burundais. Il faut les jeunes prennent la relève. Le Burundi et le Rwanda sont différent. La stratégie qu’on a utilisé au Rwanda ne peut pas fonctionner au Burundi. Génocide, impossible au Burundi.-

    • Bwanakweli

      Tres dommage, donc notre politique est la pour copier et coller. Parce que Sassou Nguesso et Kagame ont abuse de leur pouvoir en violant les principes democratiques, le Burundi est tenu d’imiter (pourtant on nous dit que nous sommes souverains.. pour imiter les autres dans le negatif??) et faire la meme chose tout en esperant le meme traitement…..Le Congo n’a pas ete critique car il offre du petrole. Au Rwanda, la procedure n’a pas ete la meme, la violence, la menace et l’insulte n’ont pas ete utilises (ca ne veut pas dire que c’est legal non plus…). Les critiques continuent a pleuvoir, et rien n’est encore gagne…et puis c’est pour 2017, il ya du temps. Avec un bilan largement negatif, pourquoi insister pour gouverner encore? 10 ans suffit pour demontrer ses talents….Est-ce que la solution est la violence?

  9. Nukuri Jean

    Jewe nagira nibarize ababitahura neza:
    Maprobu iramutse ije mu Burundi, izotaha haciye igihe kingana iki? Kugira itahe hategerezwa kuba hakozwe iki? Ivyo ntitubizi nagato! Naho tutoba tuyanse, twategerezwa kubimenya imbere yuko twemera. Ngira boba badusoneye kurusha!
    Tuvuge ko ije, umutekano ukaboneka, hakaba ayandi matora, twokwemera ko Nkurunziza yiyamamaza mu batorwa? Mbe ni ukubera iki twiyumvira ko abatoye Nkurunziza ari ibijuju gusa? Na bo bashobora kuba bafise igituma kiboneka kandi kiri ubwenge catumye bamutora. Mbe haramutse hatowe uwundi avuye mu biyago vy’i Arusha canke yimitswe n’abadashaka Nkurunziza, twokwemera ko abatoye Nkurunziza babibona baja mw’ibarabara na bo bagatangura gutera amabuye n’amagrenade aboba baserukira iyo ntwaro nshasha?
    Rero ivyo turimwo tubanze tuvyihweze neza kuko tutabirabanye ubukerebutsi, bihakwa kutujana imwonga!

  10. On assassine 3 sœurs italiennes en plein jour, après 2 ans d enquête la justice burundaise, pince sans rire attribue le crime à un détraqué mental. Affaire est entendue , et le gouvernement répond, circulez le dossier est clos.
    On vend l avion présidentiel, les grands manitous du royaume mettent l argent dans leurs poches, la justice burundaise conclut a un non lieu.
    La famille Nkezabahazi est massacrée par la police présidentielle. Devant le tollé international, le gouvernement par le biais du procureur général ordonne un simulacre d enquête. La famille aurait été massacrée par un Joris qui voulait voler des photos. L affaire est close
    Je n ai pris que 3 exemples dans des milliers d autres pour illustrer cette justice indépendante dont parle notre cher Nkuru..
    Quand le président pasteur se moque des gens en leur disant qu il y a une justice indépendante qui s occupe des dossiers.
    Nous prend t il tous pour des crétins!!!
    Personne n ignore que le procureur général de la République est surnommé Ndiyo bwana.
    Les conclusions sont dictées de la présidence. Basta.
    C etait la meme chose pour les Hitler, Mussolini, Staline, Idi Amin, Jean Bedel bokassa, Pinochet (la liste des potentats est longue)

    • Carthage

      On peut appeler ce cycle d’impunité la reproduction des modèles. Depuis février 1962, l’assassinat des syndicalistes à Kamenge par une jeunesse de l’époque, passant par les purges de 1965, les officiers de 1969, le péril hutu de 1972, la pacification de 1988, les massacres interethniques de 1993, les FNL de 2006,et les autres Safisha(d’après Mbonimpa) l’appareil sécuritaire est utilisé pour mater une catégorie et que l’appareil judiciaire est utilisé pour couvrir ces derniers.
      C’est tout simplement le même mode opératoire qui est utilisé actuellement et ce n’est pas l’invention du pouvoir actuel comme on pourrait le penser.

  11. l'histoire est en marche

    Ariko ntimwibaze ko akagaye n agashinyaguro mweretse abarundi bizijana. Tôt ou tard, vous paierez très cher votre forfaiture!!! Vous pouvez me croire…

    • J.L. Bizabishaka

      Vous répondrez de vos crimes aussi. C’est très clair que vous voulez les choses comme avant, mais, quand les choses cahnges, ce sera radical. Tous les criminels seront au prison qu’à la présidence. C’est un avertissement monsieur, vous n’allez pas retourner! Le Burundi avance maintenant. C’est fini. Nkurunziza, c’est le votre mëme si. Et …

      • J.L. Bizabishaka

        Vous voulez sa mort mëme si il vous aider à mater le FNLet les Baganwa ensemble. Vous n’ëte pas bon pour vous mëme. Vous voulez rallier les tutsi pour votre intérêt, mais ce n’est plus possible. If faut maintenant accepter que vaus ëtes vaincu, c’est fini. Twa, Tutsi et hutu sont maintenant uni au Burundi. Vous, les mauvais, les Criminels de Michel le Belges c’est fini. Je suis Muganwa, je ne me refère comme tutsi pou hutu et je ne soutien pas que Nkurunziza devrait rester mais il est mien que vous les plus criminels, vous ëtes ses conseillers mëme maitenant!

  12. Salmia Irikungoma

    nta kuntu uburundi buri mu ntambara bworungika abasoda babwo kugarukana amahoro ahandi kandi mu burundi abarundi bicwa ku munsi ku munsi. hari hakwiye kurungikwa abasoda bo mu bihugu bifise amahoro bakaba aribo barungikwa gufasha ibindi bihugu biri mu ntambara kugarukana amahoro. ariko uburundi buri mu ntambara, abo basoda b’abarundi imiryango bayisize mu burundi hari intambara. Nayo makungu akorana n’abasoda babarundi bigishijwe kugarukana amahoro, barazobagarukana i burundi baheze bakorane nabo basoda b’abarundi babanze bagarukane amahoro iwabo i burundi, hanyuma babone gusubira kugenda gufasha ibindi bihugu biri mu ntambara, iwacu i Burundi hari amahoro, nayo ahandi ivyubu vyinshi birimwo umwijima mwinshi ni dushishikare twambaza Imana yo mw’Ijuru.

  13. Salmia Irikungoma

    birya bihugu abarundi bagiye kugarukana amahoro vyoba ata bakuru b’ibihugu bafise. ko pita yanka ko baza gutabara abanyagihugu mu burundi. ahubwo lero amakungu nace arungika barya basoda b’uburundi bari kugarukana amahoro mu bindi bihugu, kandi mu burundi inganda ziguma zitikira, kanatsinda hari kurungikwa abasoda bava mu bihugu birimwo amahoro n’iterambere.

  14. kan76

    Les présidents médiocres ne tolèrent qu’un entourage de flatteurs qui leur dissimulent leur médiocrité. Ce n’est pas le peuple qui est ingrat ou inculte pour sanctionner ces malades mentaux , mais plutôt un système qui fait tout pour éloigner le peuple de la noblesse de sagesse et de la raison. Il lui apprend à ne se reconnaître que dans la médiocrité tous Azimuts . Triste réalité pour le burundi.

    • Meurlsaut

      Bien dit Kan76.Coup de chapeau!

  15. Weka Weka

    aho bigeze biteye agahinda..Ewe Burundi bwacu….warapfunywe ntiwapfuye kabisa

  16. ntazizana

    Peter oublie très vite. Il n’ya pas plus de 20 ans, Il êtait qualifié de terroriste génocidaire, un condamnê à mort. Pourtant, Il a été accepté comme négociateur.
    Qui vivra verra!

    • nunu nado

      Vous avez raison monsieur ou madame Ntazizana, Les dirigeants des pays sous-developpes oublient vite ; mais on dirait que c’est l’ignorance ou l’inconscience . Et puis dans les chaises ou ils sont assis maintenant, il ya quelques annees ce sont d’autres personnes qui y etaient assises et il en aura d’autres. « Nta nvura idahita ».

  17. Tetu

    nous ne dialoguerons qu’avec nos suppots.

  18. mupira

    Bien cher Nkurunziza,
    Le temps ne sera jamais ton ami, le temps me donnera raison

  19. Ragiryabohambere

    Mwakoze abo mwese mwataye umwanya wanyu. Au moins mwongeyeko amasaha yokubaho kuko mwari muri sécurité mutari mufise. Entre temps, espérance de vie yanyu yiyongereye ,passant de 24 h( y’umurundi wubu) à 34h. Bravo! Muraramvye.hahaha….

    • Meurlsaut

      Quand Nkurunziza dit que la constitution burundaise l,autorisait à briquer le troisième mandat pourquoi alors a-t-il voulu la changer par la voie de l,assemblée.Et puis pourquoi a-t-il fait pression à la cours constitutionelle pour avaliser son coup d,état constitutionnel au lieu de laisser la fameuse cours travailler en toute indépendance.Je trouve aussi bête de vouloir toujours établir une comparaison avec ce qui se fait à ailleurs.Ce n,est pas puisque le même mal est vécu ailleurs que ça devient une vertu à brandir chez soi.Le mal au Burundi ce n,est pas seulement la question du troisième mandat de Nkurunziza mais aussi une gestion économique,sécuritaire de la population (surtout urbaine) catastrophiques.

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