Jeudi 18 avril 2024

Politique

Victoire de Donald Trump : «C’est un signe d’espoir pour nous»

09/11/2016 26

Après la victoire de Donald Trump lors de la présidentielle américaine de ce 8 novembre, le parti Cndd-Fdd réagit…

Evariste Ndayishimiye : «Nous avons espoir car ce sont de nouveaux dirigeants. C’est du sang nouveau c’est-à-dire que nous allons partir sur de nouvelles bases. 
Evariste Ndayishimiye : «Nous avons espoir car ce sont de nouveaux dirigeants. C’est du sang nouveau c’est-à-dire que nous allons partir sur de nouvelles bases.

«Nous avons espoir car ce sont de nouveaux dirigeants. C’est du sang nouveau c’est-à-dire que nous allons partir sur de nouvelles bases.

C’est une opportunité d’ailleurs de présenter notre pays dans toute sa réalité. Dans le passé, les autorités américaines pouvaient avoir un côté qu’elles favorisaient», a déclaré, mercredi 9 novembre, Evariste Ndayishimiye, secrétaire général du parti Cndd-Fdd. Pour lui, la reconnaissance de la défaite par Hillary Clinton est un bon exemple que les Burundais devraient suivre.

Le président Nkurunziza a été parmi les premiers dirigeants africains à féliciter le président élu. Il a réagi sur son compte twitter : «M. Donald Trump, au nom du peuple burundais, nous vous félicitons chaleureusement. Votre victoire est celle de tous les Américains. » Le secrétaire général du Cndd-Fdd a aussi félicité le président élu ainsi qu’Hillary Clinton.

Une nouvelle approche sur le Burundi?

Evariste Ndayishimiye espère que les nouveaux dirigeants vont y voir clair quand ils commenceront à analyser la situation du monde, le Burundi y compris.

Même son de cloche de la part de Willy Nyamitwe, conseiller principal en communication du président Nkurunziza. S’exprimant dans Jeune Afrique, il est confiant que le président élu prendra la bonne décision lorsque la vérité sur la situation réelle au Burundi va éclater. « Cette victoire de Trump ressemble plus à ce qui s’est passé au Burundi. Contrairement à ce que les faiseurs d’opinion, médias et certains spécialistes essayent souvent de faire croire, le peuple a toujours le dernier mot.»

«Rien ne va changer» 

Léonce Ngendakumana, vice-président du parti Sahwanya Frodebu,
Léonce Ngendakumana, vice-président du parti Sahwanya Frodebu,

Léonce Ngendakumana, vice-président du parti Sahwanya Frodebu, n’affiche pas cet optimisme. Il ne croit pas que le Burundi soit une préoccupation de Donald Trump. Selon lui, la politique des Etats-Unis restera la même.

L’ambassadeur Cyprien Mbonimpa, spécialiste des relations
internationales, est de cet avis. Il ne croit pas que les relations que les Etats-Unis entretiennent avec l’Afrique ou avec le monde vont changer. «Que ça soit un républicain ou un démocrate qui gouverne, les Etats-Unis défendront toujours leurs intérêts. De plus, ils mettent en avant les principes comme les droits de l’Homme, la bonne gouvernance, etc. Je crois que cela ne va pas aussi changer.»

Quant au Cnared, il attend du président élu un soutien ferme au processus de paix inter-burundais sous l’égide de l’EAC et surtout «des mesures sévères contre le régime de Bujumbura visant à le contraindre à abandonner la voie de la violence pour lui préférer la voie des négociations», précise Jérémie Minani, commissaire chargé de la communication du Cnared.

Forum des lecteurs d'Iwacu

26 réactions
  1. Stan Siyomana

    DESASTRE POUR L’ENVIRONNEMENT
    1. Aujourd’hui au Burundi, les effets nefastes du changement climatique sont: famine dans la province de Kirundo (et peut-etre ailleurs aussi dans autres provinces du Burundi), secheresse, pluies deluvieuses qui causent des inondations.
    2. Donald Trump nie le probleme de changement climatique et il veut dissoudre l’Accord de Paris de 2016 (lequel accord cherche a mitiger les effets du rechauffement climatique).
    « He has tweeted dozens of times about how HE DOES NOT ACCEPT THE OVERWHELMING SCIENTIFIC EVIDENCE THAT CLIMATE CHANGE IS REAL…
    TRUMP WANTS TO DISMANTLE THE PARIS AGREEMENT that sets targets to reverse the worse effects of global warming, which nearly 200 countries agreed to last December… »
    (Voir Rebecca Harrington: « President-elect Donald Trump doesn’t believe in climate change. Here’s his platform on the environment », http://www.businessinsider.com, 9 November 2016).

  2. Stan Siyomana

    1. La DICTATURE DU 3 EME MANDAT PRESIDENTIEL AU BURUNDI et le parti au pouvoir CNDD-FDD disent que la victoire de Donald Trump « C’est in signe d’espoir pour nous », parce qu’ils ecoutent le slogan de campagne electorale « AMERICA FIRST »/L’Amerique passe avant tout et les dirigeants burundais esperent que Washington ne va plus s’interesser a la violation des droits de l’Homme au Burundi.
    (Voir Libby Nelson: « America First »: Donald Trump’s slogan has a deeply bigoted backstory », http://www.vox.com, 1 September 2016).
    2. Le pouvoir de Bujumbura semble ne pas se soucier du fait que la victoire de Donald Trump peut avoir de graves consequences sur l’economie du BEAU PAYS DE MWEZI GISABO.
    – Dans une note du 3 novembre 2016, le geant americain du secteur bancaire Citigroup prevoyait qu’une victoire de Trump pouvait entrainer la montee du dollar americain (CE QUI CORRESPONDRAIT A LA CHUTE DU TAUX DE CHANGE DU FRANC BURUNDAIS) et aussi la baisse des prix des matieres premieres sur les marches internationaux (CE QUI CORRESPONDRAIT A LA CHUTE DES PRIX DU CAFE, COTTON, THE, MINERAIS QUE LE BURUNDI EXPORTE).
    « Our global base case for a Trump presidency would therefore, BE A STRONGER U.S. DOLLAR, weaker equities, WEAKER COMMODITIES, and an unclear directionof U.S. Treasuries. »
    (Voir Reuters: The one « safe » investment markets are betting on this Election Day, http://www.fortune.com, 8 November 2016).
    – La nuit du 8 novembre 2016 (quand on a commence a croire que Trump pouvait gagner?) l’indice du dollar (DXY) a monte de valeur allant d’un minimum de 95,887 vers 11:15 du soir (heure de New York) pour atteindre un maximum de 99,08 vers 9 heures du matin aujourd’hui 10 novembre 2016. CE QUI FAIT UNE HAUSSE DU DOLLAR DE 3,33%.
    Vers 11 h du matin (heure de New York), l’ndice du dollar etait a 98,93.
    (Voir US dollar index cash (DXY00), http://www.barchart.com).
    ils esperentl dictature due pouvoir de Buju

  3. Stan Siyomana

    Un certain Yomi Kazeem constate que les POPULISTES ET HOMMES FORTS AFRICAINS sont parmi les premiers qui se sont precipites pour feliciter Donald Trump.
    Il cite les presidents Pierre Nkurunziza (Burundi), Abdel Fattah el-Sisi (Egypte), Jacob Zuma (Afrique du Sud), Dr. John Pombe Magufuli (Tanzanie), Paul Kagame (Rwanda), Yoweri Kaguta Museveni (Ouganda) et Ali Bongo Ondimba (Gabon).
    Deja en juillet 2016, lors d’une rencontre avec des legislateurs americains, le president zimbabween Robert Gabriel Mugabe aurait suggere que les relations entre le Zimbabwe et les Etats -Unis d’Amerique allaient s’ameliorer sous la presidence de Trump.
    (Voir Yomi Kazeem: « Africa’s populists and strongmen are some of the first to welcome a Trump presidency », http://www.qz.com, 9 November 2016).

  4. Markus

    Aah…cette félicitation rapide du gvt burundais au nouveau président américain montre très bien comment la présidence adore « les hommes forts », même si de telles personalités poussent l’interprétation de la constitution jusqu’au bout. N’est-ce pas, aussi M. Trump annonçait de ne pas reconnaitre les élections s’il ne gagnait pas…c’est comme un écho de Bujumbura. Et voilà, de tels énoncés sont comme de miel et très enchantés à Kigobe! Seulement, la politique de M. Trump ou au moins les contures de sa politique ne promettent pas de miel: Il a annonçé de vouloir reconduir tout les immigrés non-régistrés. Il y aura alors une réduction sensible de virements bancaires vers les caisses vides de Bujumbura. Aussi, il a annoncé de vouloir se retirer des engagements internationaux ou sensiblement les réduir, voir également la coopération bilatérale…En plus, il défendra d’une conséquence bcp plus élevée la politique de « America first », c’est-à-dire la politique des intérêts nationaux. S’il va vraiement tenir à ses promesses, le Burundi dépendra encore bcp plus des anciens alliés et bailleurs de fonds européens! Bujumbura serait donc bien conseiller de se réorienter.

  5. Apparemment les politiciens sans assise politiques regroupes au sein du CENARED avaient fortement soutenu Mme Clinton. Ils ont fait une autre erreurs d’appreciation et j’espere que ca leur coutera tres cher.

    • KAAZE

      Silly!

  6. MUBI

    Akimuhana kaza imvura ihise !!!

  7. KABADUGARITSE

    Le Burundi déjà trop loin des eaux intercontinentales, beaucoup loin des eaux territoriales américaines et coincé entre les plateaux de l’Afrique centrale, il n’est connu de par le monde que par la violence endémique qui ne cesse de lui prendre ses filles et fils de manière régulière. Je ne pense donc pas qu’il soit proche des préoccupations des dirigeants US encore moins d’un Donald Trump qui traite les africains comme du fumier.

    Nous pourrions même beau dire que nous aimons l’Amérique à la folie, notre voix ne pourra point traverser l’Atlantique. Préoccupons-nous donc de notre misère. –

  8. mayugi

    Willy et Evariste, vous allez convaincre Trump que le 3ème mandat était légal?

  9. Ayuhu Jean Pierre

    J’adore ce genre d’analyses!
    Le Burundi est loin d’être une préoccupation majeure pour les USA. Vous pouvez cesser vos petits commentateurs et analyses « à deux sous ». En revanche, vous pouvez vous inspirer de l’esprit démocratique des dirigeants américains à savoir cette capacité à mettre en avant l’intérêt national et le respect des institutions. On perd les élections, on félicite le vainqueur et on prépare la suite. EN 2005, je n’ai pas entendu les leaders politiques burundais féliciter Nkurunziza. Nyangoma n’était pas dans la salle lors de la prestation de serment de ce dernier! Idem en 2010! Bien avant, en 1993, la victoire de Ndadaye a été perçu par le perdant comme un décompte ethnique! Et l’on s’étonne que la grande majorité du peuple burundais n’adhère pas aux accords d’Arusha, dont l’histoire prend sa source dans le déni de la démocratie. Clin d’œil au CNARED et aux autres tenants des négociations comme si le peuple burundais ne compte pas!

  10. jean

    Alors, je me demande pourquoi nos autres frères et soeurs de l’opposition radicale souhaitaient la victoire de Hilary si la politique Africaine de la Maison Blanche resterait la même, peu importe le gagnant? Burundais devraient chercher nos propres solutions à nos problems. “Du voisin vient après la pluie.” (Akimuhana kaza imvura ihise)

  11. John

    Si ce n’est pas de la démagogie c’est de la naiveté politique de la part des gens comme Willy Nyamitwe ou Evariste Ndayishimiye de penser que l’élection de Donald Trump va changer quoi que ce soit sur la position des Etats Unis d’Amérique vis à vis des problèmes actuels que connaît le Burundi. Qu’ils sachent que cette position AVANT Trump restera la même DURANT et APRES Trump car le Burundi n’est pas la Russie, la Chine voire l’Iran!
    Si au moins ils avaient amusé un peu la galerie comme l’a fait un certain Lambert Mende du voisin congolais qui a demandé aux Américains de cesser d’interférer dans les affaires internes congolaises comme la RDC n’a pas interféré dans les élections américaines! Qui a dit que le ridicule ne tue plus par les temps qui courent..

  12. Joan

    hahahahaha! Que des illusions.obama au moins a fait semblant de s’interesser du burundi pendant la crise l’annee passe.
    qu’est ce que vous aller vous attendre de ce trump qui surement ne sait meme pas ou se trouve le burundi.
    son administration pourra s’interesser au soldat burundais pour aller combattre isis peut etre.
    oh pauvre patrie ils vont nous utiliser comme des esclaves.!

  13. Zihinjishi Casside

    Peu importe les opinions des uns et des autres, la situation va changer vers le meilleur. On se rappellera que le Président élu avait dit au début de sa campagne qu’ « on avait donné la démocratie aux africains prématurément.» ça semble dire qu’il y a des individus qui semblent se servir de ce principe de démocratie pour faire ce qui n’aurait pas pu avoir lieu si ce principe n’était pas, par exemple, le Burundi vivait mieux au moment où il n’y avait pas encore d’ingérence extérieure, tous les burundais vivaient selon leur culture. Cela n’est plus, c’est fini, le Burundi est là où il est. Ce qui est sûr est que la politique étrangère du gendarme du monde ne sera pas gérée par le même parti. Aux Etats unis, il n’y a pas de gouvernement d’unité nationale. Le parti gagnant forme un gouvernement nouveau complétement avec de nouveaux visages. Par exemple, on ne verra plus madame Samantha Power au Nations Unies. Tous les ambassadeurs américains pensent plier leurs bagages et rentrer avant mêmes qu’on ne les rappelle. Ceux qui pensent qu’il faut prendre des positions susceptibles d’amener la paix et la prospérité ont raison car les Président élu est, avant tout, un homme d’affaires qui, il faut se l’imaginer, va favoriser la stabilité, la paix plus tôt que penser au système « après moi le déluge», l’incertitude. Ceux qui croyaient que quand le pouvoir ne les favorise pas, ils vont provoquer la violence, aller dans les négociations jusqu’à ce que le pouvoir leur revienne, bon gré malgré, doivent déchanter.

  14. Omar Djuma

    Je pense que les gens font une tres mauvaise lecture ou ne savent pas interpreter la politique internationale.
    Tout d’abord Trump est un president aimer par Poutine. Alors la question se pose pourquoi Poutine aime Trump? Eh ben Parce que Trump deteste comme Poutine les islamistes comme DAESH et Inc au point de ne pas vouloir collaborer avec eux sous aucun pretexte. Cela a un impact direct avec la Syrie. Comme il deteste les islamophobes et que l’alier de Poutine ASSAD est dans l’eau chaude, Poutine voit par l’arriver de Trump un repis car il n’a pas les moyens financieres de continuer à soutenir la Syrie (ASSAD). Le fait que les islamistes sont soutenus par les aliers de l’Occident par des differents associations ou differentes societE dite civile, ils vont perdre se soutient qui les est decisive pour continuer à destabiliser ASSAD.

    Pour Trump qui est je le rappele un Americain et qui est par dessus tout capitaliste, il ne cedera rien si la Russie continue de jour le jeu du joueur qui bloque tout ce qui se presente au conseil de securitE; Poutine sait tres bien qu’il doit donner quelque chose en retour. La question qu’il faut se pose est la suivante.

    Va-t-il laiser tomber quoi ou qui?

    Je pense que si j’etais le Burundi j’y penserai deux fois avant de me rejouir de la presidence de Trump! N’oubliez pas aussi que Trump est nostalgique de l’Amerique d’avant, l’Amerique qui decidait et les autres suivaient sans discution ou des discours arrogant comme  » Il ne sait meme pas ou ce trouve le Burundi, ils n’ont pas de lesson à nous donner ou encore nous sommes souverain etc etc

    Je vais arreter par là en vous demandant pardon sur les fautes d’orthographe surtout les accents ( J’evolue dans un Pays anglophone donc…)

    • Bakari

      @Omar Djuma
      La prochaine fois, écrivez-nous un bon commentaire en anglais au lieu de vous enquiquiner; ceux qui maitrisent l’anglais vont se régaler; et pour ceux qui ne sont pas à l’aise dans cette langue de Trump et Shakespeare, les programmes de traduction sont là pour cela!

    • Omar Djuma

      Mr. @ Bakari
      Ce que tu n’as pas compris dans ce que j’ai ecrit c’est koi? Ca me ferra plaisir de vous l’eclairer. Je pense que mm si je me suis exuser dans l’orthographe (à cause des accents de mon clavier) Tout est clair.

  15. roza kamikazi

    La victoire de trump ne changera rien de la politique burundaise, vous disiez que obama ne connaissait pas ce petit pays le burundi, alors trump va connaitre ce petit pays, vous jouez avec la politique, laisser la politique aux vraix politiciens qui connaissent la vraie democratie, vous croyez qu’il va enlever les sanctions prises pour le burundi !!!!! vous me faites rire !!!!!

    • Trump n’a que faire de la perdition des Africains. Il a critiqué l’incapacité des Africains devant la crise Burundaise et a suggéré que l’Afrique soit recolonisée. Il déteste les Afro-Américains et vous tournez les pouces croyant qu’il sera préoccupé par les « Blacks » qui s’entretuent en Afrique. Cessez d’être pitoyable, soyez humains, retroussez les manches et travaillez si vous voulez qu’un Trump (il y en a plusieurs figurez-vous!) pense à vous un jour. Quant à la levée des sanctions, cette tâche revient aux Burundais. Il suffit que nous manifestions un minimum d’humanité pour être éligible au concert des autres et les sanctions seront levées. Si non, Trump ne fera aucune différence entre une jungle comme le parc national de Serengeti et notre pays. Et là, il préfererait survoler ce parc à une visite au Burundi. Donc, la balle est dans notre camp.

      • Bakari

        @Ndayitambiye
        Bien dit! Vous méritez une bonne bouteille (de Primus)!

        • Merci Bakari.

          • Excusez-moi j’ai envoyé une partie du message alors que je voulais dire que je partageais votre appréciation.

    • Mariya Budangwa

      @Roza Kamikazi
      Tu dis que la victoire de Trump ne va rien changer de la politique Burundaise? Détrompe-toi ça va changer puisque les Samantha et consort vont changer de poste.

      • NSENGIMANA Eric

        Personne à l’heure ou nous parlons ne sait ce que TRUMP va faire…apparemment même ceux qui l’ont voté ne connaissent pas sa politique …pire il est douteux que lui-même sache ce qu’il va faire….et franchement je penses que le Burundi c’est le dernier de ses soucis.Enfin le CNDD devrait penser au bien être des Burundais au lieu d’attendre quelque chose d’un Président d’un pays tiers , c’est ça le vrai problème , le bien être des Burundais , le reste c’est secondaire.

        • @Nsengimana
          Je suis totalement d’accord avec vous. Et ce matin, je lisais the Washington Post-Express. Il a affiché grandeur nature les gens qui ont félicité Trump. J’ai vu le Président Russe, le Premier Ministre Israélien, le Premier Ministre Britannique, le Premier Ministre Canadien entre autres. Je n’ai pas vu Jacques Bigirimana. Pour vous dire qu’il y a des félicitations qui n’arrivent jamais au Président Américain. Et à tous ceux qui rêvent grâce ou à cause de leur ignorance, je demande de lire le texte suivant, reproduit verbatim.
          Donald Trump
          Washington DC – US business mogul Donald Trump has
          put Zimbabwean President Robert Mugabe and Ugandan
          President on notice, vowing to deal with them ruthlessly
          when he ascends to Presidency.
          Speaking while addressing war veterans in Washington,
          Trump warned other like minded dictators who want to
          die in power, that their time is up and its just a matter of
          time before they face justice.
          “I want to reiterate here before America’s greatest heroes
          that I will not condone any dictatorial tendencies exhibited
          by dictators around the world especially the two old men
          from Zimbabwe and Uganda”
          Mugabe and Museveni must be put on notice that their days
          are numbered and that I am going to arrest them and lock
          them in prison. If the past American administrations have
          failed to stop these two despots, I will personally do it”
          Mugabe and Museveni have given the world enough troubles
          and its about time someone puts to an end all these
          madness for peace to prevail” said an unapologetic Trump.
          If Obama fears them, I will never fear them. If clinton and
          Bush feared them, If the Pope kneels before them, I will
          never be reduced to that level. I will never be cowed. I
          promise to clean all the political mess around the world and
          promote international justice,” added Trump arrogantly.

      • John

        @ Mariya Badangwa

        Savez vous au moins que le Président sortant Barack Obama a déjà demandé (hier!) la prolongation, pour une période d’une année, des sanctions prises à l’encontre de certaines personnalités burundaises? Lol….

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