Deux membres influents du parti Congrès National de la libération d’Agathon Rwasa, ont été arrêtés dimanche 10 décembre par la police, ils sont accusés d’avoir tenu une réunion clandestine, sans autorisation dans leur permanence. Les responsables de ce principal parti (…)
Difficile de distinguer les élèves et le reste de la population. Comme il n’est pas clôturé, tout le monde y entre et en sort comme il veut. Les vaches, les véhicules et les motos y font des mouvements le jour comme la nuit. Les cas de vol s’y observent. Les autorités demandent de l’aide.
La plupart des personnes touchées dorment à la belle étoile. Les dégâts matériels dans 3 communes de cette province concernent les infrastructures publiques, les églises, les champs de cultures mais surtout les maisons littéralement détruites. Les habitants touchés par ces intempéries sont sans assistance.
Un climat malsain règne ces derniers temps entre les 2 communautés qui se regardent en chiens de faïence. Les postes administratifs et politiques de représentation de leurs localités les divisent à l’approche des élections générales. L’administration territoriale du Sud-Kivu et les représentants des 2 communautés tentent d’apaiser les tensions.
Des habitations modernes ont été construites à ces handicapés qui combattaient aussi bien dans l’armée régulière que dans la rébellion. Ils sont pour le moment privés de l’assistances qu’ils recevaient auparavant. Le ministère de la Défense nationale et des anciens combattants promet des solutions dans un proche avenir.
La situation est devenue alarmante et les cas de choléra ne cessent d’augmenter. A l’origine, l’eau propre manque cruellement. Les autorités administratives et sanitaires comptent faire des descentes sur terrain pour inciter les habitants à observer scrupuleusement les règles d’hygiène.
Elles habitent dans des huttes et sont exposées à diverses maladies. Des promesses de leur construire des maisons tardent à se réaliser. L’administration leur conseille plutôt de s’atteler aux travaux de développement à l’instar des autres citoyens.
L’eau potable manque dans plusieurs endroits des collines de la commune Gihanga. Le risque des maladies liées à des mains sales est élevé, car les habitants font recours à l’eau de la rivière Rusizi. L’administration confirme ces informations et fait savoir que cette situation est liée au tarissement des sources d’eau.
Les populations des collines frontalières de la Kibira commencent à vaquer à leurs activités après plus de 3 trois mois. L’administration communale multiplie des séances de sensibilisation et de pacification.
De la Mairie de Bujumbura en province Cibitoke en passant par les provinces Gitega Rumonge, l’accès à l’eau potable est problématique. La population ne sait plus à quel saint se vouer. Où se situe le problème alors que la ville de Bujumbura se trouve au bord du lac Tanganyika, un grand réservoir planétaire d’eau douce ? Le ministère en charge de l’Hydraulique reconnaît cette carence d’eau potable. Pour y faire face, les investissements privés dans ce secteur s’avèrent nécessaires. Quant à la Regideso, elle prévoit d’investir 60 milliards de BIF dans le secteur pour l’année 2023-2024.
Il s’observe une hausse généralisée des prix de presque tous les produits agricoles à travers les marchés des 6 communes de la province. L’administration parle de spéculation de la part des commerçants. Ces derniers avancent la pénurie de ces produits.
7 collines sur 17 que compte la commune sont concernées par la pénurie d’eau. Les services d’hygiène alertent sur d’éventuels cas de maladies des mains sales. L’administration compte organiser des séances de sensibilisation. L’augmentation du débit d’eau et l’exploitation de nouvelles sources d’eau sont envisagées.