Dans le but de renforcer ses équipes sur terrain, le Groupe de Presse Iwacu souhaite recruter un correspondant permanent pour la province de Gitega. Le candidat devra être détenteur d’un diplôme universitaire soit en journalisme, en communication ou dans une discipline proche. Une expérience antérieure en journalisme constituera un avantage. Une bonne maîtrise de la langue française et du Kirundi est également exigée.Le candidat doit être domiciliée à Gitega et bien connaître la province.
Un permis de conduire pour une moto est un atout. Les candidats intéressés sont priés de déposer le dossier comprenant un CV, les attestions des diplômes reçus ainsi que la lettre de demande d’emploi au siège du Groupe de Presse Iwacu, avenue de France N°5, au plus tard mercredi le 3 juillet 2013 à 17 heures.
Les candidats sélectionnés seront invités pour passer un test à une date qui sera communiquée ultérieurement.
Archives
Groupe de Presse Iwacu : avis de recrutement
A nos chers lecteurs
Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web. Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus, mais une information rigoureuse, vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vous proposer un journalisme ouvert, pluraliste et indépendant.
Chaque contribution, grande ou petite, permet de nous assurer notre avenir à long terme.
Soutenez Iwacu à partir de seulement 1 euro ou 1 dollar, cela ne prend qu'une minute. Vous pouvez aussi devenir membre du Club des amis d'Iwacu, ce qui vous ouvre un accès illimité à toutes nos archives ainsi qu'à notre magazine dès sa parution au Burundi.Je soutiens Iwacu
Lire sur le même sujet
Editorial de la semaine
Une responsabilité de trop
« Les décisions prises par la CVR ne sont pas susceptibles de recours juridictionnels. » C’est la disposition de l’article 11 du projet de loi portant réorganisation et fonctionnement de la Commission Vérité et Réconciliation analysée par l’Assemblée nationale et le Sénat (…)
Les billets d'Antoine Kaburahe
