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Au sommaire de l’édition de ce jeudi 2 février 2017 du journal ’’Amakuru y’Iwacu’’

02/02/2017 Edition : Commentaires fermés sur Au sommaire de l’édition de ce jeudi 2 février 2017 du journal ’’Amakuru y’Iwacu’’

Pierre Nkurikiye : «Des mesures ont été prises pour juguler ce mal »• Huit policiers ont été blessés par leur camarade au camp de police spéciale de roulage de la commune urbaine de Mukaza. Selon le porte -parole de la police, Pierre Nkurikiye, c’était aux environs de 2heures du matin de ce jeudi que L’APC Samuel Nduwimana s’est réveillé et a commencé à tirer sur ses collègues. Il a ensuite voulu se suicider en se tirant une balle mais n’a fait que se blesser. « Ce policier présentait des signes de maladie mentale mais pas au point d’alarmer ses supérieurs ». Il demande à tous les policiers de suivre les règlements et la discipline de la police.

• La journée nationale de l’unité célébrée chaque 5 février sera célébrée ce lundi 06 février, selon le ministère du travail et de la fonction publique. Selon ce ministère, cette journée sera chômée et payée.

• Le Gouvernement burundais a décidé d’interdire toute activité dans la réserve naturelle de la Rukoko à partir de ce mercredi. Cela après une réunion tenue par 3 ministères. Celui de l’Intérieur, de la Défense et de la Sécurité. Le ministre de l’intérieur, Pascal Barandagiye a indiqué à la population de Kagaragara, de la commune Bubanza que dorénavant, elle va se déplacer et aller vivre ailleurs. « Cette réserve est une propriété de l’Etat. »

Pour le député Fabien Banciryanino, élu dans la circonscription de Bubanza, il devrait y avoir concertation entre le Gouvernement et la population de Kagaragara avant d’envisager toute expulsion. Il demande que la loi en matière d’expropriation soit appliquée. « Je ne comprends pas comment l’intérêt de la réserve est mis en avant au détriment de celui de la population. »

• Le ministère des ressources en eau et de l’assainissement déclare que la zone humide au Burundi est menacée de nos jours.

Le directeur général de ce ministère, Emmanuel Ndorimana affirme que les causes majeures sont notamment la forte démographie, la pollution par des produits phytosanitaires, et la construction des maisons dans ces zones humides. « Les conséquences sont essentiellement l’érosion et le déversement direct des eaux de pluie. »

Ce directeur fait appel à la population burundaise en cette journée internationale des zones humides, de les protéger en retenant l’eau des ruisselles par le reboisement.

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