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Au sommaire de l’édition de ce mardi 25 juillet 2017 du journal ’’Amakuru y’Iwacu’’

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25/07/2017 Edition : Commentaires fermés sur Au sommaire de l’édition de ce mardi 25 juillet 2017 du journal ’’Amakuru y’Iwacu’’

• 3 sympathisants d’Agathon Rwasa ont été arrêtés ce lundi dans la commune Gashikanwa de la province Ngozi.

Parmi ces détenus figurent le représentant du groupe de cette province. Ils sont accusés d’outrage aux institutions. La député élue dans cette circonscription, de la Coalition Amizero y’abarundi, Olive Nkunzimana indique que ces personnes sont emprisonnées actuellement dans le cachot de police de Ngozi. Selon elle, ces personnes ont été arrêtées pour leurs idées politiques différentes de celles du pouvoir en place.

• Les 4 artistes burundais choisis pour représenter le pays dans la 8 ème édition des jeux de la Francophonie compétitions ont vu leur départ annulé à la dernière minute. Ils indiquent ne pas savoir les motifs de cette annulation. La patronne du label Murundikazi fashon, Annick Kabatesi qui faisait partie de la délégation indique que leurs objets d’exposition avaient déjà été embarqués en Côte d’Ivoire où sont censés avoir lieu ces jeux. Cela par le ministère ayant la culture dans ses attributions. Elle demande le rapatriement de leurs affaires.

Le ministre de tutelle, Jean Bosco Hitimana déclare pour sa part que les raisons de l’annulation seront communiquées aux concernés s’ils daignaient se présenter au ministère. Pour ce qui est des objets qui ont atteint leur destination, il fait savoir que leur rapatriement est en cours.

• 8000 m des fils électriques de la Regideso ont été saisis par la police ce lundi dans les marchés de Ruvumera et Kamenge. Le porte-parole de la police, Pierre Nkurikiye indique que 8 personnes ont déjà été arrêtées pour des raisons d’enquêtes.

Le Directeur général de la Regideso, Jéroboam Nzikobanyanka se dit ravi de cet acte de la police. C’est après un appel lancé par la Regideso à l’endroit des forces de l’ordre. Jéroboam Nzikobanyanka précise que la Regideso n’est pas capable de surveiller tout son matériel. Il demande plutôt à la population de prendre soin de ce patrimoine public.

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