• La Dynamique nationale pour les droits de l’Homme est la solution à apporter au conflit lié aux rapports sur le Burundi qui sont souvent rejetés par le gouvernement. C’est dans un échange organisé par l’organisation qui milite pour le changement des mentalités, Parcem. Alors que certains parlent de rapports biaisés, d’autres estiment qu’il ne faut pas les rejeter en bloc mais plutôt tirer certaines véracités de ces rapports et prendre des mesures qui s’imposent.
• Les sénateurs burundais ont entendu le ministre des affaires étrangères, Alain-Aimé Nyamitwe sur les organisations non gouvernementales opérant au Burundi. La question sur la gestion des fonds de ces ONGs ainsi que celle sur le respect de la charte des recrutements ont été abordés. Les sénateurs estimant que certaines ONGs favorisent une ethnie plutôt que l’autre dans le recrutement de leur personnel. Ils vont jusqu’à dire que la population ne bénéficie finalement pas de l’aide de ces organisations et font plutôt du renseignement pour le compte de ceux qui les financent. Ils demandent donc que ce ministère fasse un suivi attentif de ces ONGs
• Les députés réunis dans la coalition Amizero y’abarundi se disent malmenés. Ils dénoncent l’interdiction de tenir des réunions. Ils l’ont déclaré à l’hémicycle de Kigobe. Alors que le ministre de l’Intérieur était venu pour répondre à ces questions. A ce propos, le ministre Pascal Barandagiye indique l’espace politique est ouvert à tout le monde à conditions de respecter les lois en vigueur.