1200 étudiants chassés des résidences des campus de l’Université du Burundi par des autorités pour raison de sécurité, vivent aujourd’hui dans des mauvaises conditions à Kigobe, devant l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique.
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Je crois que ces étudiants peuvent rentrer chez eux. Où sont les autres? En en 1993 ou en 1995, les étudiants chassés de l’Université ( Ceux qui ne sont pas morts suite aux bavures des sans échecs confères )sont-ils allés devant les ambassades? moi je suis passé par la fenêtre et j’ai sauvé ma peau. Maintenant, personne ne les poursuit. Ils ont chez eux. La victimisation est le propre de ces gens là. Mais je veux qu’ils vivent, que la paix reviennent et que ce derniers réintègrent le campus.
Si il y’ a bien quelqu’un qui se victimise ici c’est bien toi. Tu sors complètement du contexte et ton histoire (si bien sûre elle est vraie) tu n’en a tiré aucune leçon, car : « ces gens là » comme tu dis aurais pu subir le même sort que leur prédécesseurs. C’est à cause de personnes qui pensent comme toi que le pays est dans une telle situation.
Cher 1200 étudiants voulant entrer aux USA pour des motifs non-avoués, retournez aux études pour l’avenir de votre pays le Burundi. Vous n’êtes pas des réfugiés politiques, mais plutôt économiques. Ce beau pays le Burundi sera développé par vos initiatives. Je demande aux USA de considérer votre cas comme réfugiés économiques. Et d’ailleurs sans vouloir tromper l’opinion internationale et surtout américaine, quelqu’un qui vit en paix ici au Burundi, qui ne participe pas dans la subversion, n’est pas du tout inquiété. Je vous demande donc de regagner votre demeure au lieu de se ridiculiser à coté de cette Ambassade de la Super puissance du monde. Même si le ridicule ne tue pas au Burundi, je vous prie de ne pas persévérer dans cette situation que je compare avec celle du théâtre « En attendant Godot ».
Vous feriez bien de rentrer.
Florence
Chère Florence, que penses-tu de ceux qui les ont chassé du campus fallait-il qu’ils attendent d’être massacrés? Mais comme tu l’a si bien dit, le ridicule ne tue pas et tu en est la preuve.
Vraiment honteux pour le pouvoir de Bujumbura de voir les futurs dirigeants du pays dormir dans la rue alors qu’a moins de 6 heures d’interval le 1er vice-president parlait de la securite total dans pe pays.Y a t il pas un demon qui frequente nos dirigeants pour leur laver le cerveau ? cela s’est produit et continue a se reproduire chez quelque ministres de notre gouvrnement.